Visiblement, l'alliance avec les islamistes a porté atteinte au RCD qui se dit toujours laïc et opposant du pouvoir central d'Alger.

Le président du RCD a accordé une entrevue au journal Le Point Afrique, dans laquelle il explique, entre autre sa vision et son choix d’aller aux législatives de Mai 2017 après les avoir boycotté en 2012. Mohcine Belabbes s'est également exprimé sur l'état de santé de Bouteflika et sa capacité à gérer le pays.

Pour lui, le président algérien Abdelaziz Bouteflika, même malade "gère le pays" et aucun président avant lui, ne l’avait géré de la sorte et surtout depuis 2014. "Personnellement, je pense que le chef de l'État algérien n'a jamais géré le pays comme il le gère depuis 2014. La raison est très simple. Quel chef d'État algérien a osé réviser la Constitution aussi profondément comme l'a fait Bouteflika en février 2016 ? Et quel chef d'État a révisé la loi électorale pour exclure des partis politiques de la compétition électorale comme Bouteflika l'a fait ? Rien de cela n'aurait pu avoir lieu si le chef de l'État ne dirigeait pas", faisait-il remarquer à son interlocuteur.

Et même s’il estimait que le pouvoir "qui s'est largement renforcé et qui a décidé d'en finir avec le multipartisme en tant que mode d'organisation démocratique de l'alternance au pouvoir", il n’en demeure pas moins convaincu que "l'histoire des peuples est pleine de dirigeants aux capacités limitées qui n'ont abandonné le pouvoir que pour rejoindre leur tombe", mais Mohcine Belabbes voit le "problème ailleurs".

Étrangement, sur la question de la destitution de Bouteflika, soulevé il y a quelque temps par lui-même, le président du parti cher au docteur Sadi, n’a plus envie que Bouteflika soit destitué car, selon lui, un parti politique n'est pas là pour répéter les mêmes propositions tout le temps. "Nous n'avons pas été entendus sur l'impératif du respect de la Constitution, la mise en œuvre de l'article 102 dans ce cas. Notre proposition n'a pas été partagée. Par contre, notre objectif stratégique demeure inchangé : comment doter notre pays d'institutions et de dirigeants légitimes et crédibles" !

Puis, de réaffirmer que "le problème en Algérie n'est pas lié au fait que le chef de l'État soit malade ou gravement malade ou pas du tout malade. Le problème se pose en termes de légitimité. Si on résout ce problème, le reste coule de source. Nous avons eu par le passé des chefs d'État qui n'étaient pas malades, mais qui étaient aussi illégitimes parce qu'ils étaient le fruit de la fraude électorale", maintenait le président du RCD.

Pour rappel, le Rassemblement pour la culture est la démocratie fut l’un des premiers partis politiques à avoir annoncé sa participation aux législatives de mai prochain.

Lire l'article sur Le Point Afrique

Yacine Djouder pour Timunent

A propos de développeur

Azul fellawen, je me nomme "Yugerten Yazid" un jeune informaticien de réseaux et programmation WEB internet. J’ai créé ce site "JS Kabylie Club"dans le but de partager et promouvoir la culture Amazigh dans le monde entier, dans tous les domaines, afin de développer le taux de recherches google sur le contient Amazigh, non seulement des sujets de politique, terrorisme et racisme qui salaient notre image comme peuple, mais bien plus sur l'éducation,Sport,Technologie…, etc. Comme on dit en kabyle "yiwen ufus ikat-ara lkef"donc j'ai besoin de votre aide pour réaliser tout ça. Aidez-moi à donner une bonne image sur le peuple amazigh."Agdud mebla idles, am umdan mebla iles" Merci pour votre passage sur notre simple site.

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  1. d axessar d tasertit neɣ ɛeddi ad teṭṭseḍ...ahbuh

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  3. لا عجائب ولاغرائب
    Mr benchenouf, le masque est tombé, c'est le retour à la paternité
    Méditons les paroles de da l'Hocine Ait-Ahmed lah irahmou
    Tout ce qu'il nous disait nous le vivons aujourd'hui
    A bon entendeur.........

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    1. Ç 'a ressemble à beaucoup d'égards au corbeau et le renard des fables de la fontaine :

      LE CORBEAU ET LE RENARD

             Maître Corbeau, sur un arbre perché,
                 Tenait en son bec un fromage.
             Maître Renard, par l'odeur alléché,
                 Lui tint à peu près ce langage :
             Et bonjour, Monsieur du Corbeau,
          Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
                 Sans mentir, si votre ramage
                 Se rapporte à votre plumage,
           Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
      À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie,
                 Et pour montrer sa belle voix,
         Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
         Le Renard s'en saisit, et dit : Mon bon Monsieur,
                    Apprenez que tout flatteur
           Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
         Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
                 Le Corbeau honteux et confus
         Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.


         (1) oiseau fabuleux, mythique, toujours seul de son espèce,    qui, après un siècle de vie, mourait consumé par le feu,    et renaissait aussitôt de ses cendres. Par extension, être  unique en son genre.



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Jugurtha Yazid

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