khbiobihbiubibibhibijninkjnmmonmonmjio

Communiqué distribué lors du sit in qui a eu devant l’Ambassade d’Espagne à Rabat ce jeudi :


Le mouvement amazighe au Maroc et en Afrique du nord « Tamazgha », a pris connaissance, avec grand étonnement, de la volonté du gouvernement espagnol de livrer des détenus amazighes du M’Zab en Algérie, Khodir Sekkouti, délégué de l’Assemblée Mondiale amazighe en Algérie et de l’activiste amazighe Salah Abbouna, détenus auprès des autorités espagnoles depuis le 06 juillet 2017, suite à un avis de recherche international émis par les autorités algériennes contre les deux activistes amazighes, accusés de terrorisme. Cette décision constitue un danger pour la vie des détenus en raison de l’histoire noire du régime algérien contre ses opposants.

Le mouvement amazighe, tout en s’étonnant de cette décision émanant du Conseil des ministres espagnol qui a décidé la livraison  des détenus  amazighes au pouvoir de Bouteflika, bien qu’il soit au courant de l’histoire noire du régime algérien en matière des droits de l’homme, et sa connaissance de l’opération de « nettoyage ethnique » menée par le pouvoir algérien contre les amazighes de la région du Mzab en détruisant leurs biens, fait qui a entrainé de dizaines de martyres et de détenus, la calcination des maisons et des logis des Mozabites. Ce fait a poussé les activistes Sekkouti et Abbouna à fuir les poursuites du régime algérien. Le gouvernement espagnol a opté pour ses intérêts au détriment des droits de l’homme.

En raison de ce que constitue la décision du gouvernement espagnol, en cas de sa mise en œuvre, en matière de bafouillage des droits de l’homme, optant pour ses intérêts politiques et économiques, les activistes amazighes affirment ce qui suit :



-         L’extradition des détenus amazighes aux autorités algériennes constitue un danger pour leur vie, en raison des politiques de vengeance programmée adoptée par le système algérien contre les Amazighes, particulièrement les amazighes du M’Zab,

-         Que le pouvoir algérien vise, par son communiqué contre les activistes revendiquant l’autonomie du Mzab, veut se venger des activistes qui dénoncent sa dictature et sa sauvagerie, par des photos et des vidéos qui dévoilent le vrai visage  auprès des organisations des droits internationales et des institutions internationales,

-         Souligne que le mandat d’arrestation international émis par le pouvoir algérien contre les activistes et contres le Mouvement pour l’autonomie du Mzab, constitue la continuation du processus  d’arrestations arbitraires et de poursuites juridiques ainsi que des jugements formels contre les amazighes algérien,

-         Demande aux autorités espagnoles d’annuler sa décision et de libérer les activistes amazighes, Khodir Sekkouti et Salah abbouna, en les protégeant des actions du pouvoir algérien. Ils revendiquent aussi au Bureau de l’Organisation des Nations Unies pour les Refugiés d’intervenir auprès des autorités espagnoles pour octroyer le statut de refugiés politiques aux détenus amazighes algériens en les protégeant contre les renseignements militaires algériens,

-         Dénonce la continuation du régime algérien à poursuivre les activistes du mouvement pour l’autonomie du Mzab, en Algérie et ailleurs en les accusant, fallacieusement, de terrorisme, pour les incarcérer,

-         Réitère sa demande aux instances et organisations de droit internationale ainsi qu’à l’Union Européenne et toutes les organisations afférentes pour intervenir et presser les autorités espagnoles pour qu’elles annulent leur décision et exercer une pression sur les autorités algériennes pour libérer  les détenus politiques mozabites

-         Les activistes amazighes réaffirment leur engagement à poursuivre la dénonciation de ces actes ségrégationnistes ainsi que ce « nettoyage ethnique » programmé par le pouvoir algérien contre les amazighes du Mzab







 ONG signataires :

·        Assemblée Mondiale Amazighe (AMA)

·        Organisation IZERFAN

·        Mouvement TAWADA

·        Observatoire Amazigh des Droits et Libertés (OADL).



Algérie (Timunent) - Quelques semaines après le remaniement ministériel en Algérie, et la désignation d'Abdelmadjid Tebboune au poste de premier ministre à la place d'Abdelmalek Sellal, voila que l'ex ministre algérien de l'habitat sort de la petite porte et remplacé par Ahmed Ouyahia, qui occupait jusque la le poste de directeur du cabinet présidentiel.

A rappeler, qu'Ahmed Ouyahia était déjà premier ministre, désigné d'urgence pour éteindre la flamme du printemps noir en 2001, sa désignation 16and après a t-elle un rapport avec l'avancement du projet indépendantiste en Kabylie?




Qatar (Timunent) - Les autorités générales du tourisme Qataris a annoncé ce matin avoir exonéré les citoyens de 80 pays du visa d'entrée sur le sol du Qatar, ceci après la crise qui a frappé à sa porte depuis un peu plus d'un mois, le plus remarquable dans cette décision est le fait que ce pays arabe n'ait cité aucun pays arabe avec lesquels il partage des frontières, dans la liste des pays concernés, ni même pas l'Algérie qui avait pris position en sa faveur lorsque plusieurs pays ont décidé de la boycotter.

Voir les pays concernés:




Kateb Yacine: "Je suis d’abord allé à l’école coranique, je n’aimais pas la religion, en fait je l’ai detesté, en particulier quand on nous frappait avec une règle sur la plante des pieds pour nous faire apprendre le Coran, par cœur. À l’école française, la maîtresse était comme une seconde mère pour nous. Celle que j’ai eue était extraordinaire. Elle savait comment nous intéresser. Elle nous donnait envie d’aller à l’école.
L’Algérie est un pays subjugué par le mythe de la nation arabe, car c’est au nom de l’arabisation que l’on réprime le Tamazight. En Algérie, comme dans le monde entier, on croit que l’arabe est la langue des Algériens.
Aujourd’hui, par les armes, nous avons mis fin au mythe ravageur de l’Algérie française, mais pour tomber sous le pouvoir d’un mythe encore plus ravageur : celui de l’Algérie arabo-musulmane, par la grâce de dirigeants incultes. L’Algérie française a duré cent trente ans. L’arabo-islamisme dure depuis treize siècles ! L’aliénation la plus profonde, ce n’est plus de se croire français, mais de se croire arabe. Or il n’y a pas de race arabe, ni de nation arabe. Il y a une langue sacrée, la langue du Coran dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité !
C’est l’arabo-islamisme qui a abouti à l’asservissement et à la dégradation de la femme chez nous.
Ces religions ont toujours joué un rôle néfaste. Il faut s’y opposer avec la dernière énergie. On les voit maintenant à l’œuvre. On les voit en Israël, en Palestine, on les voit partout. Ces trois religions monothéistes font le malheur de l’humanité. Ce sont des facteurs d’aliénation profonde. Voyez le Liban. Ça se passe devant nous. Regardez le rôle des chrétiens, des musulmans et des juifs. Il n’y a pas besoin de dessin. Ces religions sont profondément néfastes et le malheur de nos peuples vient de là. Le malheur de l’Algérie a commencé là. Nous avons parlé des Romains et des chrétiens. Maintenant, parlons de la relation arabo-islamique ; la plus longue, la plus dure, la plus difficile à combattre […] C’est dur de lutter contre une telle couche d’aliénation. Pendant ces treize siècles, on a arabisé le pays mais on a en même temps écrasé le tamazight, forcément. Ça va ensemble. L’arabisation ne peut jamais être autre chose que l’écrasement du tamazight. L’arabisation, c’est imposer à un peuple une langue qui n’est pas la sienne, et donc combattre la sienne, la tuer. Comme les Français quand ils interdisaient aux écoliers algériens de parler arabe ou tamazight parce qu’ils voulaient faire l’Algérie française. L’Algérie arabo-islamique, c’est une Algérie contre elle-même, une Algérie étrangère à elle-même. C’est une Algérie imposée par les armes, parce que l’islam ne se fait pas avec des bonbons et des roses. Il s’est fait dans les larmes et le sang, il s’est fait par l’écrasement, par la violence, par le mépris, par la haine, par les pires abjections que puisse supporter un peuple. On voit le résultat."

« Aux origines des cultures du peuple : entretien avec Kateb Yacine » (1987), dans Revue Awal, n° 9/1992.



LNI (Timunent) - Les habitants du village d’Ikhlidjene de la commune de Larbaa Nath Irathen, à 27 km au sud-est de la wilaya de Tizi-Ouzou, ont organisé, pendant trois jours le 2 le 3 et le 5 du mois en cour, des festivités culturelles pour enfants, et un concours culinaire du meilleur couscous pour les femmes.

« 130 enfants ont participé aux festivités concours », a souligné Mohand Amoukrane Loumi, président du comité de village.

Le dernier jour a été marqué par une exposition/­dégustation du couscous préparé par des candidates du concours du meilleur couscous. Ces festivités ont été clôturées par une soirée artistique au centre du village, Différents modes d’expression artistique étaient au rendez-vous, tels que la chorale et la musique. La troupe théâtrale a su aussi faire valoir son potentiel et émerveiller le public à l’image d’un groupe d’enfant, qui ont présenté un merveilleux sketch, les thèmes abordés ont fait replonger l’assistance dans l’atmosphère des vieux contes et légendes.

En guise d’encouragement, les trois premières lauréates aux concours du meilleur couscous pour femmes, ont été honorées ainsi que les enfants ayant participés aux concours.

Enfin, ces activités restent un moyen permettant à l’ensemble des habitants du village d’œuvrer pour le rassemblement, l’union et la fraternité afin de pouvoir vivre en communauté.

Source: Le Jeune Observateur


Amezruy (Timunent) - Agerruj iɛerqen n Yuba II, d azwel n udlis yura Frank Joseph s teglizit ɣef yifri n ugerruj issewhamen n Illinois n unẓul, akked wamek wwḍen Ifriqiyen n ugafa neɣ Imuritaniyen - Inumidiyen ɣer umenẓaw (continent) amarikani, aṭas n leqrun uqbel Christophe Colomb...

Deg-s ugar n 100 tiwlafin n tɣawsiwin i d-sskeflen.
Yewwi-d awal ɣef usikel amezruyan n ugellid Yuba II d yiwlanen-is (marins) Imuritaniyen -Inumidiyen seg ugaraw Aṭlasi, i wakken ad ɛiwden lebni n tmetti-nsen deg umaḍal amaynut.
Issefhem-d adrug (mystère) n Washitaws, yiwen udrum n yifriqiyen, i temlal tanemzagt (expédition) n Lewis d Clark deg tazwara.

Deg 1982 Russell E. Burrows, assegaḍ n yigerrujen deg Illinois n unẓul, yemderkal deg yiwen umkan anda ttwaffren imrigen iqburen, isɣunen d yisebdar (sarcophages) n wureɣ deg yiwen yifri ubɛid. LLant deg-s, daɣen, tiblaḍin n udɣaɣ yettwarun s tugniwin n yiserdasen n ṛṛuman, ihudiyen, imasiḥiyen imezwura d yiwlanen n tefriqt n utaram. Tiɣawsiwin-agi, glant-d s ummenuɣ ameqran gar yimusnawen n tsenzikt (archéologie) : ma d tiɣawsiwin n tidet neɣ n uɣurru. Ayagi, yeǧǧa Burrows ad yessedrem anekcum n yifri-nni.


S unadi deg ugar n 7000 n tɣawsiwin i d-yettwakksen seg yifri uqbel assedrem-ines, Frank Joseph, yesfhem-d amek wwḍent tɣawsiwin-agi alarmi ttwameḍlent deg tlemmast n Yiwunak Yeddukklen n Marikan.
Yebda-d s Cléopâtre Séléné tameṭṭut n ugellid Yuba II yeseddan Tigelda n Muritaniya - Numidya. Mbeɛd timenɣiwt n mmi-tsen Ptolémée sɣur Umenkad (Empereur) Caligula, kkren-d Imuritaniyen - Inumidiyen mgal udabu n ṛṛuman ad ṭṭfen abrid-nsen ɣer tmurt ittusemman imir-a Ghana. Din, bnan tanawt n yiɣerruba i wakken ad ssiklen seg ugaraw Aṭlasi ɣer tmurt i ibeɛden ɣef ṛṛuman, anda ssarmen ad ɛiwden lebni n tgelda-nsen. Wwin yid-sen agerruj ameqran llan ttnadin fellas sin yimenkaden n ṛṛuman mebla tkubbert (succès) : isɣunen n ureɣ n Cléopâtre d temkerḍit taqburt n Yuba II. Adlis-agi, deg-s xilla n tewlafin timaynutin n tɣawsiwin i d-yettwakksen seg wadeg n Illinois n unẓul.


Agerruj iɛerqen n Yuba II, d yiwet n temɛayt yesseqnaɛen i izemren ad aɣ-teǧǧ ad nɛiwed tamuɣli ɣef umezruy aqbur n Temrikt d wakken yezmer lḥal ad illin Imuritaniyen – Inumidiyen wwḍen ɣer umenẓaw amarikani azal n mraw d semmus (15) n leqrun uqbel Christophe Colomb.
Sɣur Tala uMaziɣ

Amagrad-agi sɣur Tala uMaziɣ yeffeɣ-d deg weɣmis n yimaziɣen n Arim, 17 deg yulyu 2017. Ula d kunwi tzemrem ad tceggɛem imagraden-nwen ɣer tansa : deptamazight@gmail.com



Source: adrar-inu

VIOL d'une fillette par un IMAM à batna

imam de 40 ans, père de quatre enfants, a abusé de sa nièce, âgée de 12 ans, dans l’enceinte même de la mosquée. La fillette, à peine pubère, se rendait à cette « maison de Dieu » pour étudier le coran. Son oncle, qui y officie, a profité un jour d’un moment de solitude pour assouvir ses besoins.
L’acte incestueux s’est poursuivi durant de longs mois, avant que la mère, alertée par le comportement de plus en plus anxieux de sa fille, ne décide de la suivre discrètement jusque dans la mosquée. Elle a alors découvert l’horreur et alerté les autres membres de la famille. Une sourcière a alors été tendue à l’oncle incestueux. Il a été surpris en pleins ébats avec sa nièce. La scène a été filmée et transmise à la justice. Arrêté, l’imam pédophile a reconnu son forfait et a même avoué avoir eu des relations avec sa nièce dans la mosquée et chez elle !
L’imam est poursuivi pour «violence sexuelle sur mineurs», «pratiques incestueuses» et «violation d’un lieu de culte».


Autre Article proposé par un commentateur :

En Algérie, l’inquiétude grandit chez les responsables du ministère des Affaires religieuses. Et pour cause, la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur dans les écoles coraniques. Ces derniers mois, plusieurs scandales de mœurs ont éclaté dans ces écoles pieuses où l’on est censé apprendre aux enfants la spiritualité et les principes sacrés de l’islam.

Malheureusement, dans de nombreuses régions à travers le pays, la piété et la spiritualité ont laissé la place aux agressions sexuelles commises sur des enfants. Pour preuve, la semaine dernière, à Sidi Bel-Abbès, situé à l’ouest du pays à 87 Km d’Oran, l’enseignant de l’école coranique de la mosquée de la commune de Boudjebha-El-Bordj, une localité située à 40 km à l’est de Sidi Bel-Abbès, a été condamné à 10 ans de prison ferme pour attentat à la pudeur commis sur un enfant âgé de 6 ans. Le tribunal criminel de Sidi Bel-Abbès a décidé d’emprisonner cet enseignant qui a déshonoré sa fonction et la religion qu’il était censé défendre et enseigner par son comportement vil. Il faut dire que cet enseignant a dépassé « les bornes de l’outrecuidance » lorsque cet enseignant a abusé sexuellement d’un enfant au moment où ce dernier avait demandé à son maître de l’eau à boire !

En effet, l’imam a profité de sa position de force pour enfermer l’enfant « à l’intérieur de la classe » pour abuser de lui sexuellement. Après avoir commis son lâche forfait, l’enseignant a menacé sa victime et lui a demandé de passer sous silence ce viol caractérisé. Mais, « une fois chez lui, l’enfant raconte à sa famille son calvaire et se fait ausculter par un médecin qui a confirmé l’agression sexuelle. Suite à cela, les parents ont déposé une plainte contre l’enseignant qui a été arrêté », explique encore à ce sujet le correspondant local du quotidien Liberté lequel ne manque pas de préciser qu’au cours du procès, « le représentant du ministère public a requis 20 ans de prison ferme contre » cet imam violeur.

Et des imams violeurs, il y en a eu beaucoup ces derniers temps dans nos écoles coraniques. D’ailleurs en 2010, une association a brisé le silence et a mené une enquête sur ces crimes de mœurs qui demeurent un tabou. L’Association Djazairouna des victimes du terrorisme, basée à Blida, avait dévoilé que rien que dans la wilaya de Blida, 28% des enfants qui suivent des cours dans des écoles coraniques ont subi des attouchements sexuels.

Pour arriver à cette amère conclusion, cette association a enquêté sur 431 écoles coraniques. Révélés à l’époque lors d’une rencontre-débat sur le thème « La maltraitance des enfants », organisée par la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme, ces chiffres terribles n’ont pas manqué de susciter l’indignation de l’opinion publique. Mais cette indignation générale n’a pas brisé pour autant le tabou qui entoure la pédophilie dans les écoles coraniques, des institutions religieuses sacrées que les autorités ne désirent pas, visiblement, remettre en cause.



SOURCE ALGÉRIE FOCUS

Google a lancé une mise à jour de son clavier Gboard sur Android et IOS avec plusieurs nouveautés qui font plaisir à ses utilisateurs mais celle qui  fait particulièrement chaud au cœurs des amazighs est l’intégration de Tamazight avec ses deux transcriptions Latine et Tifinagh.



En effet, Google a annoncé entre-autres, à l’occasion du lancement de sa mise à jour de « Nouvelles dispositions de clavier dans les langues suivantes : khowar, tamazight (latin) et tamazight (tifinagh)» lit-on sur le Play store.

La mise à jour du clavier de Google «Gboard» très populaire avec un demi-milliard de téléchargement sur le play store intègre Tamazight avec ses deux transcriptions, L



atin à laquelle feu Mouloud Maameri a dévoué sa vie, majoritairement utilisée par les chercheurs et écrivains amazighs et l’historique Tifinagh adoptée par l’étatique institut royal marocain (IRCAM), après plusieurs pétitions d’internautes et des initiatives de développeurs militants.

Rappelant que «Gboard, le clavier Google», est disponible sur Le play store et App store gratuitement.




Sur le numérique Tamazight avance doucement mais surement, avec l’engagement de ses militants qui ont compris la viabilité du virtuel pour la survie de leur langue plusieurs fois millénaires, avec des travaux particulièrement innovateurs que nous citons à titre d’exemple,  sur les locales de traduction et création de contenu à l’image du navigateur Firefox qui s’est Kabylisé et Wiképedia qui s’enrichit jour après l’autre du contenu des divers langues amazighes.

Source: Observ'Algerie


Un incendie de forêt a endommagé dans la nuit de lundi à mardi une douzaine de maisons dans la commune montagneuse de Maâlla (Ouest Bouira), causant des brûlures ainsi que des asphyxies à une trentaine de personnes, a-t-on constaté sur place.



Le feu s’est déclaré lundi après-midi près des villages Bouguezzine et Laghoual relevant de la municipalité forestière et montagneuse de Maâlla, située sur les hauteurs de Lakhdaria à l’Ouest de Bouira. Attisées par le vent, les flammes ont atteint ces deux villages vers 20 heures, endommageant une dizaine de maisons et causant des brûlures et des asphyxies à une trentaine de personnes.

Les personnes touchées ont été évacuées à l’hôpital de Lakhdaria, selon les services de la protection civile de Lakhdaria. « Toutes les personnes touchées ont quitté l’hôpital, excepté une femme ayant subi des brulures de troisième degré. Cette dernière a été évacuée vers l’hôpital de Douéra (Alger) pour recevoir les soins nécessaires », ont-ils expliqué sur place.

Les flammes ont sérieusement touché une douzaine d’habitations et causant la perte d’une quinzaine de têtes ovines, deux têtes bovines ainsi que trois ânes. Quatre voitures ont été également endommagées par les flammes, a-t-on constaté sur place.

Mardi matin, le feu a été éteint après l’intervention des unités de la protection civile. Une colonne mobile était toujours sur place, a-t-on constaté. « Les services concernés tentaient d’établir le bilan », a expliqué à l’APS, le chargé de la communication de la direction de la protection civile de Bouira, le capitaine Rahmani Raouf.


Les habitants de Bouguezzine et Laghoual ont vécu une nuit infernale et les dégâts auraient été plus lourds sans l’intervention des brigades de la protection civile, a indiqué un des habitants du village.


SOURCE OBSERVE ALGÉRIE

OUARGLA (TIMUNENT) | Le lycée de la commune d’El Borma dans la wilaya d’Ouargla dans le sud algérien a obtenu 0% de réussite à l’examen du baccalauréat.


Un record mondial, aucun des candidats de cet établissement, des filières des sciences expérimentales et des lettres et sciences humaines, n’a réussi à décrocher son Bac.


Les parents des élèves auxquels se sont joints des habitants de cette région, située non loin de Hassi Messaoud, ont réclamé l’ouverture d’une enquête pour connaître les causes à l’origine de cet échec total de l’établissement au Bac.


Le lycée d’El Borma souffrirait de manque de moyens matériels et de personnel d’encadrement, selon les parents de élèves.

source K-Directe 



El Oued (Timunent) - Un élève algérien ayant raté son Baccalauréat dont les résultats ont été rendus public hier sur internet s'est vengé du professeur qui la surveillé durant les épreuves qui se sont déroulé le mois de Ramadan dernier.

En effet, il y a quelques heure, un professeur dans la région saharienne El-Oued, dites Oued Souf a trouvé la mort, assassiné par un élève qu'il a surveillé durant les épreuves du BAC de cette année en Algérie, cet élève incombe la responsabilité à un homme qui n'est la que pour faire son travail.

Telle est l'école algérienne




La clinique de gynécho-obstétrique Sbihi-Tassadit de Tizi-Ouzou a enregistré le décès d’une jeune femme âgée de 28 ans, a-t-on appris par nos sources.

En effet, une femme de 28 ans est décédée à la clinique Sbihi Tassadit où elle avait été admise mercredi dernier tard dans la nuit. «Elle présentait des signes de vertige. Sur la table d’accouchement, la parturiente a perdu la vie juste après l’expulsion, à 3 heures 45 mn du matin de jeudi. Son bébé est toujours en observation à la clinique, mais son état de santé est jugé stable» indique une source sanitaire au sein de ladite clinique.

À noter que ce n’est pas la première fois que la clinique Sbihi connaît ce genre de drame. En 2013, pas moins de six femmes ont perdu la vie dans cet établissement en l’espace de seulement quelques semaines, les citoyens de la ville de Tizi-Ouzou avaient alors organisé plusieurs manifestations pour exiger que la lumière soit faite sur cette série de décès.



Communiqué:

Communiqué (Timunent) - L’espace vert de Raffour se trouve actuellement dans un état critique. La situation n’augure rien de bon, on vient d’assister à des manœuvres venant de quelques personnes visant à bloquer ce projet écologique à travers la privation de l’espace vert de sa seule source d’eau qui assure l’arrosage de la végétation. Notons que, ce groupuscule de personnes a choisi le moment le plus opportun pour mettre en œuvre leur dessein machiavélique qui consiste à couper cette source primordiale à la survie des arbres en cette période estivale coïncidente avec des vagues de chaleur dans laquelle les arbres ont besoin d’un arrosage régulier, y compris les arbustes que nous avons planté récemment. 
« Les bénévoles Ecolos de Raffour » appellent l’ensemble de la population de Raffour à exprimer solennellement sa solidarité et son soutien le plus absolue à ce projet écologique pour contrecarrer ces personnes nuisibles qui complotent pour mettre à genoux tous « projet commun », qui renforce les valeurs et les atouts de notre collectivité à savoir le vivre ensemble, la solidarité et entraide qui ont tant été la véritable force des citoyens de Raffour. 
« Les bénévoles Ecolos de Raffour », réitère sa détermination et sa persévérance à mener jusqu’au bout ce dessein noble.


« Les bénévoles Ecolos de Raffour »




Communiqué (Timunent) - Suite à l’empêchement violent de la conférence de RAMDANE ACHAB, invité du café littéraire d’Aokas (Vgayet), le collectif des militants kabyles pour la défense des droits humains (CMKDDH), dénonce cet acte liberticide et met en garde contre d’éventuels dérapages dont les conséquences ne seront pas maitrisables.
En fait, l’activité culturelle et intellectuelle est ciblée depuis un moment dans cette localité, et ce, sans même la moindre explication de la part des autorités locales, et encore moins de la part de la wilaya ou des institutions ministérielles algériennes.
La culture est le talon d'Achille de tous les États fondés sur l'injustice et l'oppression à l'instar de l'Algérie.
Sinon en quoi une conférence ou un café littéraire représente-il un danger pour la sécurité ? Et si ce n'est pas le cas, pourquoi faire une intrusion à l’intérieur de la salle et humilier tous les présents ? Toutes ses questions nous poussent à penser qu’une intention malsaine est derrières de tels actes, surtout en connaissant les habitudes fâcheuses du régime d’Alger.
Nous assistons à une régression énorme en matière de la libre expression. Le but recherché est de transformer en peu de temp la Kabylie en Corée du nord bis. Il est plus qu'urgent de mettre un terme à ces pratiques d'un autre âge.
Des émeutes ont éclaté suite au comportement irresponsable et infâme des services répressifs algériens. Pour déjouer desseins obscurs des pécheurs en eaux troubles, nous appelons à la mobilisation pacifique et civilisée. La prudence et la vigilance sont de rigueurs.
Nous avons relevé par ailleurs, l’agression de l’artiste caricaturiste GHILAS AINOUCH, un jeune talent dont la Kabylie est extrêmement fière. Nous lui témoignant notre entière solidarité en lui disant que tous ceux qui se sont inscrits en lettres d’or dans le combat pour la liberté l’ont fait on encaissant les coups d’une police injuste, et d’un corps malsain.
Un appel solennel est adressé aux différentes organisations des droits de l’homme et la société civile en générale, la régression est on ne peut plus dangereuse, et si rien n’est fait, nous risquons de le payer cher demain, quand un pouvoir agit en homme fou, la société quant à elle, est dans le devoir d’agir en médecin avisé.

C-230717



Tagherdayt (Timunent) - Les militants et fondateurs du mouvement pour l'autonomie du Mzab le docteur Kamel Eddine Fekhar et Kacem Soufghalem viennent d'être libérés après une détention de deux ans et une semaine dans les geôles algériennes.

A rappeler que le docteur Kamel-Eddine Fekhar et son camarade Kacem Soufghalem ont été arrêtés le 09 Juillet 2015 dans une mosquée à Taghardayt (Ghardaia) lors de la prière "Tarawih" du mois de Ramadan, cette arrestation est dû a un soulèvement populaire dans la vallée du Mzab afin de dénoncer les injustices que subissent les amazighs Mzabs depuis plusieurs années.

Le docteur Kamel-Eddine Fekhar a été libéré de l'hôpital de Médéa après la dégradation de sa santé suite a une longue grève de faim qu'il a entamé pour dénoncer les injustices dont il était victime ainsi que tous ses compagnons.


Jugurtha Yazid

Fourni par Blogger.