Communiqué (Timunent) - Dans un communiqué rendu public du porte-parole officiel du mouvement pour l’autonomie du Mzab, monsieur SKOUTI Khodir où il dénonce les pratiques sataniques du pouvoir algérien à l'égard du pays Mzab et la situation dont se trouve le docteur Kamel Eddine Fekhar qui est en grève de faim depuis 84 jours, affirmant que le pouvoir algérien ne pourra jamais tuer le MAM et que le combat du leader mozabite sera honoré même s'il ne sera plus de ce monde.

Lire le communiqué ci-dessous:



Lors de sa dernière visite au docteur Kamaleddine Fekhar, au lieu réservé aux détenus a l’hôpital Hmida Ben Adjila a Laghouat, le directeur de la prison  lui a dit en un seul mot : «  Arrêtes ta grève de faim, sinon tu mourras ici a l’hôpital ». Ce message ferme et direct adressé au Docteur Kamal de la part du procureur émane du pouvoir algérien qui veut s’en  débarrasser en le tuant en silence.

Après 84 jours de grève de faim illimitée, le Collectif  des Amazighs en France a organisé le dimanche 26 Mars 2017 un rassemblement devant l’ambassade d’Algérie à Paris pour tirer la sonnette d’alarme sur la situation humanitaire et l’état de santé critique du militant Amazigh le Docteur Kamaleddine Fekhar ; demandant aux autorités algériennes de le libérer  avant que ça soit trop tard ! L’appel du Collectif des Amazigh en France, est lancé à tous les militants et activistes Amazighs et les défenseurs des droits de l’Homme  en Europe, ces derniers sont  venus en masse au rassemblement pour condamner et dénoncer  la politique répressive et l'intransigeance du pouvoir algérien, protester contre son refus catégorique  concernant  la libération des détenus d’opinion  en rejetant tous les rapports des ONG comme Human whrits watch et Amnesty international ainsi que le rapportdu secrétariat américain  des affaires étrangères qui dénoncent l’arrestation arbitraire du Docteur Fekhar ainsi que les autres détenus du Mzab,  comme a été mentionné dans la dernière correspondance de l’ONU section arrestation arbitraire dans leurs questions adressées aux pouvoir algérien concernant les « détenus d’opinion » Mozabites, mais qui n'ont reçu aucune réponse favorable.

Ce qui a marqué ce grand rassemblement de Paris pour le soutien des détenus Mzab, c’est l’absence totale des immigrés Mozabites résidant en France, ceux censés être les premiers a soutenir la cause des détenus du Mzab et d’exprimer quotidiennement leur mécontentement à l’encontre du pouvoir Algérien pour ses violations des droits de l’Homme dans la région malgré la levée  de l’état d’urgence. Les immigrés d’At Mzab qui ont perdu l’esprit de solidarité et la dignité humaine ont préféré  rester dans leurs commerces que de rejoindre le rassemblement pour sauver la dignité humaine, en se contentant  des implorations d’Allah, ayant peur de la réaction du pouvoir Algérien à leur égard. Ils n’ont investi aucun effort  pour demander au pouvoir raciste d’Alger de lever de cesser d’humilier les enfants de leur pays, malgré leur présence  en Europe dans des pays de liberté d’expression et de démocratie, côtoyant des peuples qui défendent la dignité humaine. Malgré vos divergences avec ses idées politiques, le Docteur Kamaleeddine Fekhar milite aujourd’hui depuis les prisons avec son corps pour la libération de tout les détenus d’At Mzab, et c’est de votre devoir de le soutenir dans cette revendication juste, premièrement sur le plan humaniste, car il est entrain de mourir à petit feu dans la prison sans oublier la souffrance de la majorité des détenus dans des conditions inhumaines, et deuxièmement du coté fraternel, il est le fils de Mzab et votre frère de  sang et de sol, il veut recouvrer la dignité du peuple Mozabite par la voix du droit. Et même celui qui défend et milite pour la cause du Docteur Fekhar en France n’a pas participé  au rassemblement de Paris !? Votre abscense, restera comme une tache de honte dans l’histoire d’At Mzab tant que vous ne bougez pas et vous ne prenez pas l’initiative pour dénoncer ce crime avant que ce soit trop tard. L’occasion est devant vous pour sauver  votre honneur  en appelant a des marches en France et il y a beaucoup de militants Amazighs et défenseurs des droits de l’Homme en Europe qui seront a vos côtés.

Au Mzab ( Aghlane- tous le Ksour de Ghardaia) c’est l’état d’urgence illégale, qui a été prolongée plus de trois fois de la part du pouvoir en place suite à la demande de ceux qui ont vendu leurs conscience en s’associant avec les élus locaux, et nationaux  en participant a l’oblitération de preuves qui montrent  l’implication des services de sécurité dans les violations et les dépassements dans le Mzab. Ils ont cautionné les crimes commis  avec leur silence parfois et en  participant à diverse festivités nationales et religieuses alors que le Mzab est toujours en deuil et pleure ses  martyrs.

Le régime Algérien veut tuer le Docteur Kamaleddin Fekhar et il veut mettre fin au  Mouvement pour l’Autonomie du Mzab, connu pour le caractère pacifique de son combat,  il veut faire taire tout mouvement indépendant  qui défend les droits de l’Homme dans le Mzab, c’est pour toutes ces raisons que nous – cadres du mouvement- nous disons a ce pouvoir dictatorial : Notre combat continue avec tous les moyens pacifiques et légaux,  vous pouvez nous assassiner mais vous ne pouvez pas tuer nos idées, et tant que la répression s’amplifie, la conscience des hommes et des femmes évolue aussi. Nous continuerons  à sensibiliser  et à conscientiser nos citoyens en faveur de la défense des droits de l’Homme, nous lutterons dignement et pacifiquement pour dévoiler vos crimes, et nous militerons jusqu’à la mort  pour la liberté et la dignité du peuple Mozabite, sa fierté de son identité Amazighe et ses valeurs démocratique. Les  A3yan Mzab ont usurpé la qualité de représentants du Mzab pour trahir le sang des martyrs et les droits des victimes. Ils ont trahi  le serment  et la confiance, mais la nouvelle génération qui a connu votre injustice et tous vos crimes et nous en  tant que Mouvement nous sommes déterminés pour que le sang de nos martyrs et leur sacrifices ne soient pas vains, nous réussirons tôt ou tard à faire aboutir notre noble combat et les réhabiliter dans leurs droits.

Le Docteur Kamaleddin Fekhar, son nom est inscrit dans le registre des grands Hommes libres, et vous –Pouvoir Algérien qui incarne l’injustice, la répression et l’oppression-  vos noms sont inscrits dans la mémoire universelle comme des criminels contre l’humanité et criminels de guère. Toutes les lois que vous adoptez   pour la  réconciliation nationale, dans le seul but de vous échapper  à la condamnation  pour vos crimes,  seront utilisées pour que vous soyez jugés devant  les tribunaux internationaux.

Nous exigeons la libération immédiate et inconditionnelle du le Docteur Kanaleddin Fekhar et tous les détenus Mozabites.

Ni vos prisons, ni l’exil, ni vos menaces de mort n’arrêteront  notre marche.

Gloire a nos martyrs et liberté pour le Docteur Kamaleddin Fekhar et ses compagnons.

Tileli a yulu imazighen timura n amadal

Le Maroc le 29/03/2017

Le porte-parole officiel du Mouvement pour l’Autonomie du Mzab

SKOUTI Khodir



At Koufi (Timunent) -  Les citoyens du village d'At Koufi situé à 10 kilomètres de la daïra de Boghni, ont procédé à une collecte de fond pour contribuer à un projet de l'élargissement de la route reliant la commune d'At Koufi à la daïra de Boughni.
Elle est située à 10 km de la zone touristique de Thala Guilef et dispose de plusieurs zaouïas qui attirent des dizaines de théologiens et de savants religieux venant de partout.
À cet effet, les citoyens de la commune, lancent un appel pour intervenir et participer à la concrétisation de ce projet et prendre également en charge leurs doléances relatives à l'aménagement urbain de leur commune.

Algérie-Maroc (Timunent) - Depuis que le MAK, Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie a fait vibrer la scène politique en Kabylie et en Algérie en réclamant le droit du peuple kabyle à son indépendance, le pouvoir algérien se permet tous les moyens afin de saboter ou au moins ralentir cet air de liberté dans le pays kabyle ainsi qu'aux Mzab et les Aurès, parmi ces moyens, la presse, qui joue son rôle de manipulateur, faisant croire que la naissance des mouvements indépendantistes qu'ils appellent séparatistes est l'oeuvre du Maroc, la France et d'Israël, le choix de ces trois pays n'est pas dû au hasard; mais c'est parce qu'ils sont les pays les plus détestés en Algérie, le Maroc pour l'affaire du Polisario, la France étant l'ancien pays colonisateur et Israël par rapport à la Palestine et la haine du juif que le pouvoir algérien a alimentée depuis l'indépendance.

Le Maroc ne vaut pas plus que sa voisine l'Algérie, un même mouvement est né dans le Rif revendiquant l'indépendance de ce dernier, la presse du royaume comme celle de l'Algérie prifite du conflit Algéro-marocain pour manipuler le peuple marocain et rifain et les monter contre ce mouvement souverainiste.






Radio Tiziri (Timunent) - L'émission inagan vous donne Rendez-Vous ce vendredi le 31 mars à 21h sur radio TIZIRI. Une soirée spicialement dédiée a la solidarité en faveur de Dr kamel din fekhar et ses compagnons. Nos invités seront:

•MAÎTRE SALLAH DEBOUZ ,avocat de DR kamel din fekhar
•DALLIL MAKHLOUFI, parmis les participants de la réalisation du clip pour la solidarité avec DR kamel din fekhar

Pour participer appelez le numéro suivant: 01 77 14 24 16
Soyez au rendez vous sur radio-tiziri.com ou sur l'application Tuneln
Émission présente par:
Yahia at Laεziz et Malika at Maεmer




Solidarité (Timunent) — Encore une autrefois, des citoyens kabyles se mobilisent pour aider des personnes atteintes de maladies nécessitant des interventions à l’étranger. Cette fois-ci c'est notre sœur Chafiaa d'Ilula Umalu.

C'est le troisième appel en détresse lancé cette semaine et deuxième d'Ilula Umalu, après la petite Serine d'Ilula Umalu et Massinissa YESSAD de Ssuq Letniyen à Maâtkas, l'absence des autorités en Kabylie fait de plus en plus de victimes, l'Algérie n'a aucune intention de prendre en charge le citoyen kabyle.
À quand cette négligence de ceux qui sont censés prendre en charge et soigner nos malades, c'est juste leur devoir?





Ecologie (Timunent) - Hier, le 28 Mars, les gens bénévoles de Raffour ont procédé à la plantation 160 arbres.

Des petits enfants ont été mis à contribution, volontaires ont ramassé les déchets encore présents.
Le mercredi derrière à midi, l'espace vert a assisté à des activités en l’occurrence l'arrosage des arbres et ainsi la préparation des tranchés réservés à la plantation des arbres qui est prévue pour le vendredi.

Rappelons que pour l’énième fois, le cas de jardin public situé en face du stade à "Ayla Miti" n'est pas évoqué lors des visites d'inspection de wali de la wilaya de Tubiret.

Les bénévoles qui s'occupent de cet espace vert s’interrogent sur l'avenir de ce jardin et appellent à l'implication de toute la population de Raffour, pour que les autorités locales ou wilaya-les le prendront en considération.

Mohamed Aqbayli pour Timunent



Lyon (Timunent) -  Encore une fois on s'en est pris à Radio Canut la nuit du lundi à Mardi pour des raisons inconnues à déclaré l'animateur de la radio Dalil Makhloufi sur sa page Facebook où il condamne fermement cet acte lâche et mesquin à l'encontre d'un média qui défend les libertés, les opprimés et peuples comme le nôtre.

Pour rappel, ce n'est pas la première fois que cette radio soit attaquée, c'est déjà arrivé le 18 décembre dernier, les mêmes pratiques afin de réduire cette radio des plus rebelles au silence, ce qui ne sera pas le cas.

Le 04 février dernier, la radio avait invité le docteur en physique atomique, Madjid Boutemeur qui avait trouvé sa voiture caillassée juste devant le siège de la radio.



Culture (Timunent) - Dix ans après la sortie de son dernier album « TIMLILI » en 2008, la chanteuse Kabyle, Ferroudja,
revient avec un nouvel album "Tighri n usmekti" qui est sorti hier Mardi 28 Mars dans les bacs en Kabylie ( Tubiret, Bgayet, Tizi wezzu...) 

 L'album contient 10 chansons "un hommage a la famille Amrouche, un hommage a nos intellectuels exilés de force, divers chansons pour la culture Amazighe et deux poèmes du poète Amazigh Libye engagé (Sifaw Tawtaw). Un poême en chenoua de Kader Bouchlaghem.Une chanson AFRICA dont l'adaptation en Français par Salem Amrane et lu par Ahcene Mariche. Il sera édité chez Akhalaf Editions

SOUTENONS LA PRODUCTION DE CE GENRE D'ARTISTES EN ACHETANT SON ALBUM..

Mohamed Aqbayli pour Timunent



La famille HAMICHE, du village Takhlidjt, commune d'Ilullen Umalu d'At wizgan lance un appel urgent aux citoyens et citoyennes bienfaiteurs et à toutes les âmes charitables, pour sauver la petite fille Serine âgée de 3 ans, atteinte d'une maladie appelée "Leucemie" qui est un cancer de sang qui necessite des soins à l'étranger (FRANCE)
Pour ceux qui veulent tendre la main d'aide, un numéro du compte CCP est à votre disposition:
CCP: 0001562137 Clé 59

Hamiche Mouloud village Takhlidjt
Pour contacter la famille directement par téléphone, veuillez appeler le numéro suivant:
Tel: 05 49 11 83 19


Lire aussi: SOLIDARITE: Appel aux âmes charitables pour sauver le jeune artiste Massinissa YESSAD



 SOLIDARITE (Timunent) - Le village Agouni Bouffal dans la commune Souk El Tenine lance un appel de solidarité avec le jeune artiste Massinissa Yessad âgé de 26ans qui atteint le stade terminal pour épuration extra-rénale qui nécessite une greffe de reins en toute urgence à l'étranger, le montant de l'intervention s'élève à dix millions de dinars ou un milliard de centimes.

Toute personne, citoyens, citoyennes charitables et bienfaiteurs desirant porter soutien ou solidarité au patient, peut contacter son père YESSAD Ahcène ou le comité de village Agouni Bouffal aux numéros suivants:
Tel: 06 98 22 74 50 / 0781 48 90 41 / 05 40 50 04 10

Ensemble unis et solidaire avec Massinissa YESSAD
N° de compte CNEP Boghni: 14000198248300
RIB: 01100219140001982490

Voir quelques peintures de l'artiste: 









 



ENSEIGNEMENT (Timunent) - On aurait tout vu, après l'affaire des minorités, aujourd'hui l'école algérienne oblige les enfants à choisir entre leurs pères et Mahomet, le prophète de l'islam, c'est dans un manuel scolaire de l'éducation islamique que les enfants sont confrontés à de tels endoctrinements, cette école algérienne qui ne cesse de former des potentiels terroristes depuis qu'on enseigne aux enfants la mort plutôt que l'amour de la vie, plutôt que de leur enseigner des études scientifiques et technologiques qui leur seront plus utiles à l'avenir.

En effet, sur l'image, vous apercevrez que l'enfant est contraint de choisir un étranger plutôt que son propre père, par crainte que l'enseignant le punisse sévèrement dans le cas où il fasse un autre choix.

La situation s'annonce encore plus grave, œuvrons pour un État kabyle pour sauver l'avenir de notre pays Kabyle, et d'assurer la survit de nos progénitures.




Algérie Palestine (Timunent) - L'Algérie a versé, jeudi, son aide annuelle à la Palestine. Cette aide financière s’élève à 26,4 millions de dollars, comme l'a précisé le communiqué de l'ambassade d'Algérie en Égypte.

Un chèque au montant précité a été remis par la représentation diplomatique algérienne au Caire à la ligue arabe. Il est à noter que chaque année, l’État algérien verse une aide financière à la Palestine.

Ce pendant, l'Algérie verse un budget qui ne depasse pas les 16 millions de dollars au régions kabyles, qui demeurent actuellement des régions pauvres, des régions vièrges dont aucun projet n'est investit ni à Tizi ni ailleurs par l'Etat Algérien qui veut à tout pris isoler la Kabylie mais sans qu'elle prenne son destin en main.

Il est aussi important de préciser que le budget annuel versé au polisario depasse celui versé à la Palestine et de toutes les régions kabyles réunies.





Algérie (Timunent) - Ce pays qui se vante du nombre de victimes de guerre et de martyrs causés par le colonialisme français, ça fait maintenant 55 ans depuis que l'Algérie est proclamée indépendante, qu'a-t-il changé depuis? où est la différence entre l'Algérie française et l'Algérie arabo-islamique?

L'Algérie comme tout le monde le sait et une création française, ce grand territoire nord-africain plus grand pays du continent en matière de superficie a connu des jours meilleurs à l'époque de la France coloniale, ses premières écoles ont ouvert leurs portes par la France, et les premiers hôpitaux ont aussi été bâtis et inaugurés par la France, ainsi que les aéroports et les lignes ferroviaires aussi qui sont l'oeuvre de la France (coloniale).
Qu'est-ce qui a changé en 55 ans d'indépendance?
Depuis 1962 quand l'Algérie a changé de mains, de française à arabo-islamique, le pays s'est enfoncé dans le précipice, aucun projet d'avenir à citer depuis 55 ans, mise à part la nationalisation des hydrocarbures du 24 février 1971, un projet prononcé par Charles de Gaulle en 1958 réalisé par Boumediene 13 ans après, mais à citer aussi que si ce projet est réalisé c'est grâce à la France qui a mis son savoir à la disposition de l'Algérie de Boumediene avec ses groupes pétroliers à l'instar de TOTAL.
Depuis ce projet qui est d'ailleurs le seul depuis l'indépendance, l'Algérie a réussi à miner le pays tout entier de mosquées et de Zaouias pour approcher le peuple algérien de leur Dieu tout-puissant, une mosquée des plus grandes au monde à El Harrach qui devait coûter un milliard de dollars mais fini à 2 milliards en 2016, une somme de quoi gérer un pays comme la Tunisie, cet Algérie ou le projet du siècle est une autoroute (Est-Ouest) qui a servi d'abattoir aux automobilistes.

Le président-roi Bouteflika et au trône depuis 18 ans, cet homme qui a promis de rendre aux Algériens leurs souverainetés, n'a fait qu'enfoncer le clou et a creusé plus profondément dans le trou où se trouvait déjà le peuple Algérien, une dépense de 900 milliards de dollars depuis son règne, et appelle aujourd'hui le peuple à l'austérité.



Très populaires, ses posts en faveur de la laïcité, de la liberté de la femme et ses multiples prises de position contre l'islam politique sont partagées des centaines, voire des milliers de fois. Son succès gargantuesque sur la toile est dû autant à ses prises de position bien argumentées, mais sans concessions, qu'à son écriture racée, fine et élégante, très proche des lecteurs.
Écrivaine de talent et militante active, femme de terrain, Djemila s'est lancée à corps perdu dans un combat sans doute inégal, mais pas désespéré, contre cette force immense et planétaire que représente l’islam politique qui a précipité l’Algérie, son pays d'origine, dans un bain de sang pendant la décennie noire. Face à la déferlante sanguinaire qui ambitionnait d'installer un ordre théocratique en effaçant l’Algérie comme nation et société et en éradiquant toutes les libertés, les artistes et intellectuels algériens n’avaient alors que le choix de l'exil vers d'autres contrées ou l'exil intérieur dans le gouffre de la peur et du silence. Ou la mort.
Sa page Facebook vient d"être fermée encore une fois, dans le but évident de la faire taire.



Kem ur d-tusiḍ si mekka
Yak yemma-m d taqbaylit
Aẓar-im si dihya
Si terga n tgelda ssew-it
Ur ttasem si tgerfa
Ur ttaɣ lqid s talwit
Udem-im d lεib ur yella
Deg-m iseɣ d lḥerma
D umennuɣ n yal talit

Ayen akka a tefreḍ allen-im
Tid nni ar yetran cubaɣ
Yal mi ara thedder tsusmi-m
Di tmuɣli-m i d as-selleɣ
Qqen azmumeg i yimi-m
D tiziri i d-iteffeɣ
Seg-m ara d-tejbu tlelli-m
Kkes leḥjab i wudem-im
S teqbaylit i kem-ḥemmleɣ

Bru i ujellab acerqi
D tebrek i kem-yurzen
Ddem tafsut d tirni
Aman d yiṭij ma mlilen
Am teslit-nni igenni
Am teḍsa n ijedjigen
Rnu afzim ɣef yiri
S sser n tqendurt-nni
D tageldunt ad d-yefriren

I wumi aneḍlu qeḍran
Ur ttegg lqid i tayri-m
A yaggur si ger yetan
Seg igenni ẓẓel-d afus-im
S teqbaylit nek i kem-ibɣan
Ḥemmel-iyi s teqbaylit-im
Ur necqi deg wid ur yebɣan
D wid isengren imɣan
Di tefsut tezga tunt-im

Buεam Muḥend Urezqi

Vous avez sûrement croisé ces affiches contenant des visages souriants, carte d’électeur en main, vous incitant à aller voter le 4 mai prochain à l’occasion des législatives algériennes. Petit souci, la plupart des modèles de cette campagne baptisée (« Fais entendre ta voix »), ne sont pas des citoyens algériens.

L’homme tergui est en réalité un modèle pris en photo par l’agence sud-africaine Daxiao Productions. L’image a été modifiée pour lui ajouter un turban bleu. Sur la photo originale, l’acteur pose la tête découverte.


La photo de la fille en foulard appartient à un photographe russe dénommé Oleg Dudko. La couleur du voile, bleu à l’origine, a été soigneusement « photoshoppée » pour donner un vert plus « algérien ».


Le bleu n’est apparemment pas la couleur préférée des créatifs de l’agence derrière ces affiches puisque la couleur des yeux d’un autre modèle a également été modifiée. Celle-ci, prise en photo à l’origine par Yuriy Shevtsov, un photographe ukrainien, a vu ses yeux devenir noisettes et sa main étoffée d’une carte d’électeur algérienne via la magie de Photoshop.


Le jeune homme souriant, lui, a été photographié par l’agence estonienne Syda Productions. Cette image a aussi servi dans divers campagnes de pub à l’étranger.


Par contre, nous n'avons pas pu déterminer si le 5e poster de cette campagne, celui d’une femme vêtue d’une tenue traditionnelle kabyle, a suivi le même schéma que les autres ou s’il s’agit d’une photographie originale d’une femme kabyle.


La campagne a été lancée il y a quelques semaines mais la découverte que ces élections du 04 Mai sont déjà fraudée dès le début, du trafique à l'algérienne comme on en a jamais vu, ou apparemment les algériennes et algériens ne sont pas aussi beaux que les occidentaux pour qu'ils soient affichés dans de tels événements.



Tizi Ouzou (Timunent) - L'enfant d'Azeffoun dont l'avis de recherche a été lancée vient d'être retrouvé saint et sauf par les services de sécurité dans la vie d El Eulma wilaya de Setif.
Grand soulagement pour sa famille et tous ceux qui se sont inquiétés sur son sort.





Azeffoun (Timunent) - Nous venons d'apprendre la disparition mystérieuse d'un enfant âgé de 14ans dans la région maritime Azeffoun, à une soixantaine de kilomètres au nord-Est de Tizi Ouzou.


En effet, un enfant âgé de 14 ans nommé  Takharboucht Rahim, est porté disparu dans la commune d’Azeffoun, au Nord-Est de la wilaya de Tizi-Ouzou, a-t-on appris hier jeudi, il est sorti de chez lui le 16 Mars après midi et on l'a plus revu depuis..

Une vaste opération de recherches à été déclenchée par la famille de l’enfant, et une enquête a été ouverte par les éléments de la sécurité dans la même commune, a-t-on également appris. La famille appelle toute personne ayant aperçu son fils ou ayant des informations sur lui à la joindre aux numéros suivants : 0772 568 753/0555 734 066, ou à se rendre au commissariat le plus proche.

Voir quelques photos de l'enfant






Algérie (Timunent) - A l'heure ou nous écrivons ces lignes, l'écrivain kabyle Karim Akouche se trouve à bord d'un avion en destination de Paris, ce dernier à publier une déclaration sur sa page facebook ou il affirme être menacé sur son intégrité physique, autrement dit, il est menacé d'agression physique, voir de mort, tout cela, c'est parce que ce libre penseur kabyle qui ne se gênent pas de dire tout haut ce que les autres pensent tout bas à publié un roman qu'il a appelé "La religion de ma mère".
Lire sa déclaration complète ci-dessous:

Déclaration importante:

Je suis dans l'avion. Je quitte l'Algérie en urgence. Direction Paris. J'improvise ce texte. Des menaces sérieuses, sur mon intégrité physique, pèsent sur moi. Tout cela à cause de mon roman : La Religion de ma mère. Mes idées d'écrivain libre dérangent. Ma plume est tranchante. Elle gratte les plaies. Elle détruit les faux mythes, les tigres de faïence, les mensonges des notables... Je suis déchiré, triste et révolté à la fois. Ma colère est saine, je n'aime pas la violence... J'ai le regret d'informer mes lecteurs et ceux qui m'ont invité pour des conférences un peu partout (Alger, Bouzeguene, Boudjima, Idjeur, Bougie, Aokas...) que celles-ci n'auront pas lieu. Ce n'est pas par faute de courage. Je compte sur leur compréhension. J'ai l'expérience de la résistance. Je connais mes ennemis. Je refuse d'être leur proie. Je combats leurs idées. Ils haïssent ce que je représente, ce que je pense, ce que je formule. Je le sais pour avoir essuyé moult menaces. Aujourd'hui, la coupe est pleine : On m'a interdit la rencontre à la librairie Cheikh, j'ai fermé les yeux. On a délocalisé ma conférence à l'Université de Tizi-Ouzou, de l'auditorium vers la grande salle de lecture, sous un prétexte farfelu, je n'ai rien dit. On a fait subir des interrogatoires à des amis et proches, j'ai fait semblant de ne rien voir. Mais me traquer comme une bête par le chasseur, surveiller mes moindres déplacements, me menacer, chercher à m'atteindre physiquement... cela non !... J'aime la vie et j'ai encore beaucoup de choses à dire, à créer... Je dénonce vigoureusement ces pratiques d'un autre âge. Mon prédécesseur, Mouloud Feraoun, avait de l'intuition, il a vu juste : Nos ennemis d'aujourd'hui sont, hélas, pires que ceux d'hier...
D'autres conférences sous d'autres cieux plus cléments m'attendent. J'irai bientôt chanter la liberté et la littérature un peu partout... Je serai à Alicante, Paris, Bruxelles, Toulouse, Marseille, Montréal, New York, Marrakkech...
Nul poète n'est prophète en son pays... surtout quand que celui-ci est une risible dictature.
Mes respects, mes chagrins, ma profonde affection,

Karim Akouche
Jeudi 16 mars 2017



Nekred tura dayen n-faq

Ad nḥyu taqbaylit

iṭij fellnaɣ ad-icraq

ad-niḍir ḍi lisser ttalwit

tamurt att-nchereg att-nefraq

ad-nefaɣ si yir targit

ta3rbubt att-nesεraq

tutlayt-iw i ttanslit

taεrbubt att-nesaεraq

ttaqbaylit i ttajadit


D-was yenatid lewnas

akkit a tarwa lḥif

ferhat yettnaɣ fellas

netta yečatid nif

Tamurt ass-nexḍem tilas

aεrab at-nar ḍi rif

mis aḍ-yuɣal ɣer yemmas

da lmuluḍ aḍ-kes aɣilif

mis aḍ-yuɣal ɣer yemmas

iεḍawnis assen at-nyif


Nukni yiḍ-wen dayen

Aṭas iεbant tuyat

nukni ḍ kunwi mači yiwen

nemxalaf leεqlyat

ḍi imaziɣen nukni ḍi ihruren

Ma ḍ kunwi tebdlem tutlayt

leqbayel aḍ-duklen

yiḍ-wen ḍ lefraq i ttifrat

leqbayel aḍ-duklen

ḍi tlam ad-ban tafat


Anay naɣ aḍ-yeflali

ad-nban ɣer tmura

akken iɣ-yehwa anili

Deg leǧnas ur nesqeḍ ara

aḍisεu azal weqbayli

atas ig-sbar i tmara

tagmatt ḍ lwajeb attili

Amcum as-nesεreq ljara

tagmatt ḍ lwajeb attili

Taεḍawt garanaɣ ur tettiḍir ara
Massi Rebelle



Hasnaoua (Timunent) - Une conférence de l'écrivain kabyle Karim Akouch a été organisée aujourd'hui à l'université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou pour présenter son dernier livre "La religion de ma mère" un titre qui a attiré bon nombre d'étudiants qui attendaient impatiemment le rendez-vous, la conférence a été prévue à l'auditorium, sauf que celle-ci était occupée à la dernière minute par un gala artistique organisé par l'administration dans le but d'annuler ou de saboter la conférence, surtout pour attirer les étudiants afin qu'ils n'y assistent pas, les organisateurs étaient déterminés et se sont débrouiller pour trouver une salle.

La conférence a quand même eu lieu, mais dans une petite salle de lecture, à la fin de la conférence qui s'est quand même déroulée dans une ambiance particulière, les militants du MAK se sont dirigé vers l'auditorium pour répondre aux saboteurs et assassins de la culture.




Depuis son passage dans l’émission "Thé ou café" sur la chaîne télévision française "France 2" Mohand Fellag est pris pour cible par les médias algériens qui ne cessent de le lyncher pour avoir dit la vérité, ou du moins ce qu'il pense.

Fellag étant l'invité de cette émission répondait à toutes les questions posées par la présentatrice qui avait tant d'admiration à l’humoriste kabyle, parmi les nombreuse questions, Fellag était questionné sur l'indépendance de l'Algérie et si elle a rapporté ses fruits, en toute honnêteté, l'invité a répondu par non, cette réponse qui a enflammé la toile et a attiré l'attention des médias algériens qui n'ont pas raté l'occasion de tirer à boulet rouge sur cet homme qui ne s'est pas gêné pour dire la vérité sur l'état de l'Algérie actuelle, certain de ces journaux sont allés très loin au point de le traiter de Harki.


Tuviret (Timunent) - Un groupe de jeunes de la ville de Tubiret muni d'armes blanches et de bouteilles d'essence menacent d'un suicide collectif, si les autorités ne prennent pas en charge leurs doléances, ils était sur le toit du siège de la wilaya.

Après plusieurs heures de pourparlers avec les policiers qui avaient entièrement bouclé le périmètre, les forcenés ont campé sur leur position.

Au contraire, ils ont choisi de se taillader le torse avec des cutters et autres lames. Les forces de l’ordre n’ont eu d’autre choix que de donner l’assaut. Les policiers, intervenus avec une extrême rapidité, ont réussi à neutraliser six jeunes tandis que le 7 s’est jeté dans le vide.


Un gala à l'occasion du 08 Mars, la fête de la femme a été animé le soir de ce Lundi 13, par des artistes Kabyles et arabophones, Kamel Igman, Yacine Yefsah, Moh Dahak et autres là ou des militantes Kabyles n'ont pas hésité à sortir avec des drapeaux Kabyles chantant les paroles de Ali Ideflawen au milieu d'une foule de résidentes des trois cités filles du Campus Universitaires Bastos.

Au début de la soirée les militantes se sont présenté dans les lieux pour profiter du climat ambiant du Gala, comme toutes les résidentes, et soudainement elle n'ont pas hésité à surprendre la foule avec une dizaine de drapeaux Kabyles et les font flotter hautement dans le ciel.

Des agents de sécurités été présents sur les lieux ont bien identifié les visages des militantes, malgré elles n'ont pas arrêter, bien au contraire elles se sont avancé droit devant a travers la foule pour enfin rejoindre les premières lignes des spectatrices.




Voici quelques photos que notre correspondante nous a envoyé.






   

Le tatouage est l’un des plus anciens rites de la culture berbère, dont les origines remontent à la période pré-islamique. Ces ethnies berbères, dont l’on retrouve des traces datant de l’antiquité pharaonique, tribus nomades et groupes berbérophones, ont historiquement une présence dans plus d’une dizaine de pays africains, du Maghreb méditerranéen à l’Afrique sub-saharienne en passant par l’Égypte et le Niger, de l’océan Atlantique au rivages du Nil.Le tatouage berbère est lié à un ensemble de rites païens de sorcellerie et de magie. Ces croyances sont toujours l’objet de coutumes dans les campagnes, où l’Islam n’a que partiellement intégré ces anciennes pratiques et croyances. Le tatouage appelé « el-âyacha » (« celui qui fait vivre »), est parfois encore pratiqué en milieu rural, où les femmes, depuis toujours, protègent leurs enfant du mauvais sort et de la malchance en leur dessinant sur le front avec du noir de fumée par exemple. On retrouve cette coutume lorsque le jour de la naissance d’un enfant coïncide avec un événement néfaste. Le tatouage a ici une fonction de communication entre le corps humain et le monde des esprits. Aujourd’hui, au Maghreb, le tatouage au henné fait encore partie des traditions berbères, le côté ornemental ayant de longue date pris le dessus depuis longtemps sur le sens magique primitif.De tout temps, le tatouage a été une coutume chez les femmes berbères, que ce soit à titre ornemental, pour se parer comme avec des bijoux et se rendre plus belles et désirables, avec une subtile touche d’érotisme tout en suggestion, ou pour exprimer un sentiment, symboliser un statut social (mort du mari et veuvage par exemple, la femme berbère pouvant porter un tatouage sur le menton reliant chaque oreille, symbolisant la barbe du mari mort). Remontant au Néolithique en Afrique du nord, le tatouage des tribus nomades berbères servait également à dissocier et à identifier les membres des différentes tribus Amazigh par des dessins, souvent sur le visage, aux caractéristiques très géométriques et aux vertus prétendument magiques : le tatouage était notamment censé conjurer le mauvais sort (éloigner le mauvais œil) et apportait bonne fortune et réussite. Aujourd’hui encore, les femmes sont les dépositaires des coutumes d’une civilisation très ancienne, qui va à l’encontre de l’islam actuel, tel qu’il est interprété dans de nombreux pays. Le tatouage s’est partiellement adaptée à cette interdiction coranique, notamment en ne représentant jamais l’image de l’homme.Pour les musulmans, la plupart du temps, le tatouage est proscrit par l’Islam, symbole de péché et de mutilation, de modification de l’œuvre divine, malgré son statut de coutume immémoriale, les imams continuant de condamner tout lien à d’anciennes croyances en des éléments surnaturels. C’est pourquoi les femmes, principales utilisatrices des dessins esthétiques sur la peau, utilisent aujourd’hui plus couramment, pour des raisons religieuses, le tatouage au henné, provisoire et non mutilant. Il existe de nombreux rites associés au Henné, lors desquels il reste très présent, même aujourd’hui : le rite du mariage (rituel de la « nuit du henné », de la naissance, du baptême, de la circoncision.Les Imazighen, (hommes libres ) ou Berbères, se tatouaient le front, le menton, les joues, le dos des mains et les tempes à l’aide pigments issus de substances d’origine végétale, du charbon, mélangés à de l’eau ou du sang, des motifs et symboles qui leur étaient propres et avaient un sens bien particulier. Le tatouage d’alors était plus social qu’ornemental, contrairement à aujourd’hui, où cette notion de tatouage symbolique a disparu dans les nouvelles générations de Berbères, même si il peut parfois conserver une notion d’attachement à une communauté, permettant aux berbères et notamment aux Kabyles de se démarquer culturellement des arabes.La fonction du tatouage est donc historiquement multiple chez les Amazigh : il peut être protecteur et ornemental, mais également identitaire ou médical : dans le Sahel, en intervenant à mi-chemin entre l’extérieur et l’intérieur du corps, on lui prêtait des vertus guérissantes : mal à la tête, arthrite…Chaque détail, chaque motif a sa propre symbolique dans le tatouage berbèreLe point symbolise le foyer, qui est au centre centre de la maisonLe croissant de lune la matière qui naît, grandit et meurt.La spirale symbolise l’harmonie éternelleLe cercle représente l’absolu.Les palmiers tatoués sur le front des femmes berbères invoquent la déesse mèreLe premier trait vertical symbolise dieu et la vie, ainsi que le premier outil planté en terre par l’hommeLes deux traits symbolisent la dualité entre le bien et le mal qui sommeillent en chacunLe carré est la représentation de la maisonDeux carrés superposés symbolisent le combat de dieu contre la malédiction et les ténèbresLa rosace, composée de triangles : celui qui a la pointe vers le haut symbolise le feu et la virilité, tandis que le triangle avec la pointe en bas représente l’eau et la féminitéLe plus (signe +) symbolise l’oeil de Dieu, l’étoile dont la lumière guide l’homme dans la nuitLa croix symbolise les deux jambes ou les deux bras de l’homme.Autres symboles : la palme du palmier, les chevrons, les pectines de sapins, les lignes de vieLes vieilles femmes berbères sont encore aujourd’hui capables de donner la région d’origine de leurs congénères en fonction du nombre de traits sur leurs tatouages. Sur le front ou la tempe, il peut être identitaire et lié à une tribu donnée, comme les tribus des Drids ou des Beni-Douala qui l’utilisaient comme signe de reconnaissance. Le tatouage rituel est encore courant au Yémen, dans le désert et au Maghreb,chez les nomades principalement. Les motifs peuvent avoir des sens variés en fonction des origines de la personne.



La rencontre prévue aujourd'hui à la librairie Cheikh de Tizi-Ouzou pour présenter son roman, « la Religion de ma mère », est annulée, l'écrivain kabyle Karim Akouche aussi est dans le collimateur du pouvoir colonial, la semaine dernière, une conférence de Younes Adli et Larbi Yahioun a été annulée à Aokas, et la présidente du Congrès Mondial amazigh madame Kamira Naît Sid elle aussi est interdite de tenir une conférence à l'auditorium de l'université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou pour la simple raison qu'elle est proche du mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie.

En effet, la pensée kabyle subit une répression atroce de la part du pouvoir colonial algérien, au moment où il est tout à fait légal de penser Arabe ou islamique.

Quand il était question de la colonisation française sur le sol kabyle, le peuple avait compris que la France coloniale pratiqué de l'anti-blindage sur leurs terres, cette même France qui interdisait aux intellectuels kabyles de s’adresser à la population, la raison pour laquelle beaucoup d'entre eux y ont laissé la vie, je cite Benai Ouali et Mouloud Feraoun.

Encore une fois, l'Algérie prouve aux yeux du monde qu'elle n'est en Kabylie qu'à titre de colonisateur, le peuple kabyle comme ses ancêtres sont appelés à se serrer les coudes et affronter l'anti-blindage Algérien, aujourd'hui rien n'a changé, il faut libérer notre Kabyle du joug colonial".

Karim Akkouche vous donne rendez-vous à l'auditorium de l'université Mouloud Mammeri, Mercredi 15 Mars pour une grande conférence.

Jugurtha Yazid

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