Communiqué distribué lors du sit in qui a eu devant l’Ambassade d’Espagne à Rabat ce jeudi :


Le mouvement amazighe au Maroc et en Afrique du nord « Tamazgha », a pris connaissance, avec grand étonnement, de la volonté du gouvernement espagnol de livrer des détenus amazighes du M’Zab en Algérie, Khodir Sekkouti, délégué de l’Assemblée Mondiale amazighe en Algérie et de l’activiste amazighe Salah Abbouna, détenus auprès des autorités espagnoles depuis le 06 juillet 2017, suite à un avis de recherche international émis par les autorités algériennes contre les deux activistes amazighes, accusés de terrorisme. Cette décision constitue un danger pour la vie des détenus en raison de l’histoire noire du régime algérien contre ses opposants.

Le mouvement amazighe, tout en s’étonnant de cette décision émanant du Conseil des ministres espagnol qui a décidé la livraison  des détenus  amazighes au pouvoir de Bouteflika, bien qu’il soit au courant de l’histoire noire du régime algérien en matière des droits de l’homme, et sa connaissance de l’opération de « nettoyage ethnique » menée par le pouvoir algérien contre les amazighes de la région du Mzab en détruisant leurs biens, fait qui a entrainé de dizaines de martyres et de détenus, la calcination des maisons et des logis des Mozabites. Ce fait a poussé les activistes Sekkouti et Abbouna à fuir les poursuites du régime algérien. Le gouvernement espagnol a opté pour ses intérêts au détriment des droits de l’homme.

En raison de ce que constitue la décision du gouvernement espagnol, en cas de sa mise en œuvre, en matière de bafouillage des droits de l’homme, optant pour ses intérêts politiques et économiques, les activistes amazighes affirment ce qui suit :



-         L’extradition des détenus amazighes aux autorités algériennes constitue un danger pour leur vie, en raison des politiques de vengeance programmée adoptée par le système algérien contre les Amazighes, particulièrement les amazighes du M’Zab,

-         Que le pouvoir algérien vise, par son communiqué contre les activistes revendiquant l’autonomie du Mzab, veut se venger des activistes qui dénoncent sa dictature et sa sauvagerie, par des photos et des vidéos qui dévoilent le vrai visage  auprès des organisations des droits internationales et des institutions internationales,

-         Souligne que le mandat d’arrestation international émis par le pouvoir algérien contre les activistes et contres le Mouvement pour l’autonomie du Mzab, constitue la continuation du processus  d’arrestations arbitraires et de poursuites juridiques ainsi que des jugements formels contre les amazighes algérien,

-         Demande aux autorités espagnoles d’annuler sa décision et de libérer les activistes amazighes, Khodir Sekkouti et Salah abbouna, en les protégeant des actions du pouvoir algérien. Ils revendiquent aussi au Bureau de l’Organisation des Nations Unies pour les Refugiés d’intervenir auprès des autorités espagnoles pour octroyer le statut de refugiés politiques aux détenus amazighes algériens en les protégeant contre les renseignements militaires algériens,

-         Dénonce la continuation du régime algérien à poursuivre les activistes du mouvement pour l’autonomie du Mzab, en Algérie et ailleurs en les accusant, fallacieusement, de terrorisme, pour les incarcérer,

-         Réitère sa demande aux instances et organisations de droit internationale ainsi qu’à l’Union Européenne et toutes les organisations afférentes pour intervenir et presser les autorités espagnoles pour qu’elles annulent leur décision et exercer une pression sur les autorités algériennes pour libérer  les détenus politiques mozabites

-         Les activistes amazighes réaffirment leur engagement à poursuivre la dénonciation de ces actes ségrégationnistes ainsi que ce « nettoyage ethnique » programmé par le pouvoir algérien contre les amazighes du Mzab







 ONG signataires :

·        Assemblée Mondiale Amazighe (AMA)

·        Organisation IZERFAN

·        Mouvement TAWADA

·        Observatoire Amazigh des Droits et Libertés (OADL).



Algérie (Timunent) - Quelques semaines après le remaniement ministériel en Algérie, et la désignation d'Abdelmadjid Tebboune au poste de premier ministre à la place d'Abdelmalek Sellal, voila que l'ex ministre algérien de l'habitat sort de la petite porte et remplacé par Ahmed Ouyahia, qui occupait jusque la le poste de directeur du cabinet présidentiel.

A rappeler, qu'Ahmed Ouyahia était déjà premier ministre, désigné d'urgence pour éteindre la flamme du printemps noir en 2001, sa désignation 16and après a t-elle un rapport avec l'avancement du projet indépendantiste en Kabylie?




Qatar (Timunent) - Les autorités générales du tourisme Qataris a annoncé ce matin avoir exonéré les citoyens de 80 pays du visa d'entrée sur le sol du Qatar, ceci après la crise qui a frappé à sa porte depuis un peu plus d'un mois, le plus remarquable dans cette décision est le fait que ce pays arabe n'ait cité aucun pays arabe avec lesquels il partage des frontières, dans la liste des pays concernés, ni même pas l'Algérie qui avait pris position en sa faveur lorsque plusieurs pays ont décidé de la boycotter.

Voir les pays concernés:




Kateb Yacine: "Je suis d’abord allé à l’école coranique, je n’aimais pas la religion, en fait je l’ai detesté, en particulier quand on nous frappait avec une règle sur la plante des pieds pour nous faire apprendre le Coran, par cœur. À l’école française, la maîtresse était comme une seconde mère pour nous. Celle que j’ai eue était extraordinaire. Elle savait comment nous intéresser. Elle nous donnait envie d’aller à l’école.
L’Algérie est un pays subjugué par le mythe de la nation arabe, car c’est au nom de l’arabisation que l’on réprime le Tamazight. En Algérie, comme dans le monde entier, on croit que l’arabe est la langue des Algériens.
Aujourd’hui, par les armes, nous avons mis fin au mythe ravageur de l’Algérie française, mais pour tomber sous le pouvoir d’un mythe encore plus ravageur : celui de l’Algérie arabo-musulmane, par la grâce de dirigeants incultes. L’Algérie française a duré cent trente ans. L’arabo-islamisme dure depuis treize siècles ! L’aliénation la plus profonde, ce n’est plus de se croire français, mais de se croire arabe. Or il n’y a pas de race arabe, ni de nation arabe. Il y a une langue sacrée, la langue du Coran dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité !
C’est l’arabo-islamisme qui a abouti à l’asservissement et à la dégradation de la femme chez nous.
Ces religions ont toujours joué un rôle néfaste. Il faut s’y opposer avec la dernière énergie. On les voit maintenant à l’œuvre. On les voit en Israël, en Palestine, on les voit partout. Ces trois religions monothéistes font le malheur de l’humanité. Ce sont des facteurs d’aliénation profonde. Voyez le Liban. Ça se passe devant nous. Regardez le rôle des chrétiens, des musulmans et des juifs. Il n’y a pas besoin de dessin. Ces religions sont profondément néfastes et le malheur de nos peuples vient de là. Le malheur de l’Algérie a commencé là. Nous avons parlé des Romains et des chrétiens. Maintenant, parlons de la relation arabo-islamique ; la plus longue, la plus dure, la plus difficile à combattre […] C’est dur de lutter contre une telle couche d’aliénation. Pendant ces treize siècles, on a arabisé le pays mais on a en même temps écrasé le tamazight, forcément. Ça va ensemble. L’arabisation ne peut jamais être autre chose que l’écrasement du tamazight. L’arabisation, c’est imposer à un peuple une langue qui n’est pas la sienne, et donc combattre la sienne, la tuer. Comme les Français quand ils interdisaient aux écoliers algériens de parler arabe ou tamazight parce qu’ils voulaient faire l’Algérie française. L’Algérie arabo-islamique, c’est une Algérie contre elle-même, une Algérie étrangère à elle-même. C’est une Algérie imposée par les armes, parce que l’islam ne se fait pas avec des bonbons et des roses. Il s’est fait dans les larmes et le sang, il s’est fait par l’écrasement, par la violence, par le mépris, par la haine, par les pires abjections que puisse supporter un peuple. On voit le résultat."

« Aux origines des cultures du peuple : entretien avec Kateb Yacine » (1987), dans Revue Awal, n° 9/1992.



LNI (Timunent) - Les habitants du village d’Ikhlidjene de la commune de Larbaa Nath Irathen, à 27 km au sud-est de la wilaya de Tizi-Ouzou, ont organisé, pendant trois jours le 2 le 3 et le 5 du mois en cour, des festivités culturelles pour enfants, et un concours culinaire du meilleur couscous pour les femmes.

« 130 enfants ont participé aux festivités concours », a souligné Mohand Amoukrane Loumi, président du comité de village.

Le dernier jour a été marqué par une exposition/­dégustation du couscous préparé par des candidates du concours du meilleur couscous. Ces festivités ont été clôturées par une soirée artistique au centre du village, Différents modes d’expression artistique étaient au rendez-vous, tels que la chorale et la musique. La troupe théâtrale a su aussi faire valoir son potentiel et émerveiller le public à l’image d’un groupe d’enfant, qui ont présenté un merveilleux sketch, les thèmes abordés ont fait replonger l’assistance dans l’atmosphère des vieux contes et légendes.

En guise d’encouragement, les trois premières lauréates aux concours du meilleur couscous pour femmes, ont été honorées ainsi que les enfants ayant participés aux concours.

Enfin, ces activités restent un moyen permettant à l’ensemble des habitants du village d’œuvrer pour le rassemblement, l’union et la fraternité afin de pouvoir vivre en communauté.

Source: Le Jeune Observateur


Amezruy (Timunent) - Agerruj iɛerqen n Yuba II, d azwel n udlis yura Frank Joseph s teglizit ɣef yifri n ugerruj issewhamen n Illinois n unẓul, akked wamek wwḍen Ifriqiyen n ugafa neɣ Imuritaniyen - Inumidiyen ɣer umenẓaw (continent) amarikani, aṭas n leqrun uqbel Christophe Colomb...

Deg-s ugar n 100 tiwlafin n tɣawsiwin i d-sskeflen.
Yewwi-d awal ɣef usikel amezruyan n ugellid Yuba II d yiwlanen-is (marins) Imuritaniyen -Inumidiyen seg ugaraw Aṭlasi, i wakken ad ɛiwden lebni n tmetti-nsen deg umaḍal amaynut.
Issefhem-d adrug (mystère) n Washitaws, yiwen udrum n yifriqiyen, i temlal tanemzagt (expédition) n Lewis d Clark deg tazwara.

Deg 1982 Russell E. Burrows, assegaḍ n yigerrujen deg Illinois n unẓul, yemderkal deg yiwen umkan anda ttwaffren imrigen iqburen, isɣunen d yisebdar (sarcophages) n wureɣ deg yiwen yifri ubɛid. LLant deg-s, daɣen, tiblaḍin n udɣaɣ yettwarun s tugniwin n yiserdasen n ṛṛuman, ihudiyen, imasiḥiyen imezwura d yiwlanen n tefriqt n utaram. Tiɣawsiwin-agi, glant-d s ummenuɣ ameqran gar yimusnawen n tsenzikt (archéologie) : ma d tiɣawsiwin n tidet neɣ n uɣurru. Ayagi, yeǧǧa Burrows ad yessedrem anekcum n yifri-nni.


S unadi deg ugar n 7000 n tɣawsiwin i d-yettwakksen seg yifri uqbel assedrem-ines, Frank Joseph, yesfhem-d amek wwḍent tɣawsiwin-agi alarmi ttwameḍlent deg tlemmast n Yiwunak Yeddukklen n Marikan.
Yebda-d s Cléopâtre Séléné tameṭṭut n ugellid Yuba II yeseddan Tigelda n Muritaniya - Numidya. Mbeɛd timenɣiwt n mmi-tsen Ptolémée sɣur Umenkad (Empereur) Caligula, kkren-d Imuritaniyen - Inumidiyen mgal udabu n ṛṛuman ad ṭṭfen abrid-nsen ɣer tmurt ittusemman imir-a Ghana. Din, bnan tanawt n yiɣerruba i wakken ad ssiklen seg ugaraw Aṭlasi ɣer tmurt i ibeɛden ɣef ṛṛuman, anda ssarmen ad ɛiwden lebni n tgelda-nsen. Wwin yid-sen agerruj ameqran llan ttnadin fellas sin yimenkaden n ṛṛuman mebla tkubbert (succès) : isɣunen n ureɣ n Cléopâtre d temkerḍit taqburt n Yuba II. Adlis-agi, deg-s xilla n tewlafin timaynutin n tɣawsiwin i d-yettwakksen seg wadeg n Illinois n unẓul.


Agerruj iɛerqen n Yuba II, d yiwet n temɛayt yesseqnaɛen i izemren ad aɣ-teǧǧ ad nɛiwed tamuɣli ɣef umezruy aqbur n Temrikt d wakken yezmer lḥal ad illin Imuritaniyen – Inumidiyen wwḍen ɣer umenẓaw amarikani azal n mraw d semmus (15) n leqrun uqbel Christophe Colomb.
Sɣur Tala uMaziɣ

Amagrad-agi sɣur Tala uMaziɣ yeffeɣ-d deg weɣmis n yimaziɣen n Arim, 17 deg yulyu 2017. Ula d kunwi tzemrem ad tceggɛem imagraden-nwen ɣer tansa : deptamazight@gmail.com



Source: adrar-inu

VIOL d'une fillette par un IMAM à batna

imam de 40 ans, père de quatre enfants, a abusé de sa nièce, âgée de 12 ans, dans l’enceinte même de la mosquée. La fillette, à peine pubère, se rendait à cette « maison de Dieu » pour étudier le coran. Son oncle, qui y officie, a profité un jour d’un moment de solitude pour assouvir ses besoins.
L’acte incestueux s’est poursuivi durant de longs mois, avant que la mère, alertée par le comportement de plus en plus anxieux de sa fille, ne décide de la suivre discrètement jusque dans la mosquée. Elle a alors découvert l’horreur et alerté les autres membres de la famille. Une sourcière a alors été tendue à l’oncle incestueux. Il a été surpris en pleins ébats avec sa nièce. La scène a été filmée et transmise à la justice. Arrêté, l’imam pédophile a reconnu son forfait et a même avoué avoir eu des relations avec sa nièce dans la mosquée et chez elle !
L’imam est poursuivi pour «violence sexuelle sur mineurs», «pratiques incestueuses» et «violation d’un lieu de culte».


Autre Article proposé par un commentateur :

En Algérie, l’inquiétude grandit chez les responsables du ministère des Affaires religieuses. Et pour cause, la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur dans les écoles coraniques. Ces derniers mois, plusieurs scandales de mœurs ont éclaté dans ces écoles pieuses où l’on est censé apprendre aux enfants la spiritualité et les principes sacrés de l’islam.

Malheureusement, dans de nombreuses régions à travers le pays, la piété et la spiritualité ont laissé la place aux agressions sexuelles commises sur des enfants. Pour preuve, la semaine dernière, à Sidi Bel-Abbès, situé à l’ouest du pays à 87 Km d’Oran, l’enseignant de l’école coranique de la mosquée de la commune de Boudjebha-El-Bordj, une localité située à 40 km à l’est de Sidi Bel-Abbès, a été condamné à 10 ans de prison ferme pour attentat à la pudeur commis sur un enfant âgé de 6 ans. Le tribunal criminel de Sidi Bel-Abbès a décidé d’emprisonner cet enseignant qui a déshonoré sa fonction et la religion qu’il était censé défendre et enseigner par son comportement vil. Il faut dire que cet enseignant a dépassé « les bornes de l’outrecuidance » lorsque cet enseignant a abusé sexuellement d’un enfant au moment où ce dernier avait demandé à son maître de l’eau à boire !

En effet, l’imam a profité de sa position de force pour enfermer l’enfant « à l’intérieur de la classe » pour abuser de lui sexuellement. Après avoir commis son lâche forfait, l’enseignant a menacé sa victime et lui a demandé de passer sous silence ce viol caractérisé. Mais, « une fois chez lui, l’enfant raconte à sa famille son calvaire et se fait ausculter par un médecin qui a confirmé l’agression sexuelle. Suite à cela, les parents ont déposé une plainte contre l’enseignant qui a été arrêté », explique encore à ce sujet le correspondant local du quotidien Liberté lequel ne manque pas de préciser qu’au cours du procès, « le représentant du ministère public a requis 20 ans de prison ferme contre » cet imam violeur.

Et des imams violeurs, il y en a eu beaucoup ces derniers temps dans nos écoles coraniques. D’ailleurs en 2010, une association a brisé le silence et a mené une enquête sur ces crimes de mœurs qui demeurent un tabou. L’Association Djazairouna des victimes du terrorisme, basée à Blida, avait dévoilé que rien que dans la wilaya de Blida, 28% des enfants qui suivent des cours dans des écoles coraniques ont subi des attouchements sexuels.

Pour arriver à cette amère conclusion, cette association a enquêté sur 431 écoles coraniques. Révélés à l’époque lors d’une rencontre-débat sur le thème « La maltraitance des enfants », organisée par la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme, ces chiffres terribles n’ont pas manqué de susciter l’indignation de l’opinion publique. Mais cette indignation générale n’a pas brisé pour autant le tabou qui entoure la pédophilie dans les écoles coraniques, des institutions religieuses sacrées que les autorités ne désirent pas, visiblement, remettre en cause.



SOURCE ALGÉRIE FOCUS

Google a lancé une mise à jour de son clavier Gboard sur Android et IOS avec plusieurs nouveautés qui font plaisir à ses utilisateurs mais celle qui  fait particulièrement chaud au cœurs des amazighs est l’intégration de Tamazight avec ses deux transcriptions Latine et Tifinagh.



En effet, Google a annoncé entre-autres, à l’occasion du lancement de sa mise à jour de « Nouvelles dispositions de clavier dans les langues suivantes : khowar, tamazight (latin) et tamazight (tifinagh)» lit-on sur le Play store.

La mise à jour du clavier de Google «Gboard» très populaire avec un demi-milliard de téléchargement sur le play store intègre Tamazight avec ses deux transcriptions, L



atin à laquelle feu Mouloud Maameri a dévoué sa vie, majoritairement utilisée par les chercheurs et écrivains amazighs et l’historique Tifinagh adoptée par l’étatique institut royal marocain (IRCAM), après plusieurs pétitions d’internautes et des initiatives de développeurs militants.

Rappelant que «Gboard, le clavier Google», est disponible sur Le play store et App store gratuitement.




Sur le numérique Tamazight avance doucement mais surement, avec l’engagement de ses militants qui ont compris la viabilité du virtuel pour la survie de leur langue plusieurs fois millénaires, avec des travaux particulièrement innovateurs que nous citons à titre d’exemple,  sur les locales de traduction et création de contenu à l’image du navigateur Firefox qui s’est Kabylisé et Wiképedia qui s’enrichit jour après l’autre du contenu des divers langues amazighes.

Source: Observ'Algerie


Un incendie de forêt a endommagé dans la nuit de lundi à mardi une douzaine de maisons dans la commune montagneuse de Maâlla (Ouest Bouira), causant des brûlures ainsi que des asphyxies à une trentaine de personnes, a-t-on constaté sur place.



Le feu s’est déclaré lundi après-midi près des villages Bouguezzine et Laghoual relevant de la municipalité forestière et montagneuse de Maâlla, située sur les hauteurs de Lakhdaria à l’Ouest de Bouira. Attisées par le vent, les flammes ont atteint ces deux villages vers 20 heures, endommageant une dizaine de maisons et causant des brûlures et des asphyxies à une trentaine de personnes.

Les personnes touchées ont été évacuées à l’hôpital de Lakhdaria, selon les services de la protection civile de Lakhdaria. « Toutes les personnes touchées ont quitté l’hôpital, excepté une femme ayant subi des brulures de troisième degré. Cette dernière a été évacuée vers l’hôpital de Douéra (Alger) pour recevoir les soins nécessaires », ont-ils expliqué sur place.

Les flammes ont sérieusement touché une douzaine d’habitations et causant la perte d’une quinzaine de têtes ovines, deux têtes bovines ainsi que trois ânes. Quatre voitures ont été également endommagées par les flammes, a-t-on constaté sur place.

Mardi matin, le feu a été éteint après l’intervention des unités de la protection civile. Une colonne mobile était toujours sur place, a-t-on constaté. « Les services concernés tentaient d’établir le bilan », a expliqué à l’APS, le chargé de la communication de la direction de la protection civile de Bouira, le capitaine Rahmani Raouf.


Les habitants de Bouguezzine et Laghoual ont vécu une nuit infernale et les dégâts auraient été plus lourds sans l’intervention des brigades de la protection civile, a indiqué un des habitants du village.


SOURCE OBSERVE ALGÉRIE

OUARGLA (TIMUNENT) | Le lycée de la commune d’El Borma dans la wilaya d’Ouargla dans le sud algérien a obtenu 0% de réussite à l’examen du baccalauréat.


Un record mondial, aucun des candidats de cet établissement, des filières des sciences expérimentales et des lettres et sciences humaines, n’a réussi à décrocher son Bac.


Les parents des élèves auxquels se sont joints des habitants de cette région, située non loin de Hassi Messaoud, ont réclamé l’ouverture d’une enquête pour connaître les causes à l’origine de cet échec total de l’établissement au Bac.


Le lycée d’El Borma souffrirait de manque de moyens matériels et de personnel d’encadrement, selon les parents de élèves.

source K-Directe 



El Oued (Timunent) - Un élève algérien ayant raté son Baccalauréat dont les résultats ont été rendus public hier sur internet s'est vengé du professeur qui la surveillé durant les épreuves qui se sont déroulé le mois de Ramadan dernier.

En effet, il y a quelques heure, un professeur dans la région saharienne El-Oued, dites Oued Souf a trouvé la mort, assassiné par un élève qu'il a surveillé durant les épreuves du BAC de cette année en Algérie, cet élève incombe la responsabilité à un homme qui n'est la que pour faire son travail.

Telle est l'école algérienne




La clinique de gynécho-obstétrique Sbihi-Tassadit de Tizi-Ouzou a enregistré le décès d’une jeune femme âgée de 28 ans, a-t-on appris par nos sources.

En effet, une femme de 28 ans est décédée à la clinique Sbihi Tassadit où elle avait été admise mercredi dernier tard dans la nuit. «Elle présentait des signes de vertige. Sur la table d’accouchement, la parturiente a perdu la vie juste après l’expulsion, à 3 heures 45 mn du matin de jeudi. Son bébé est toujours en observation à la clinique, mais son état de santé est jugé stable» indique une source sanitaire au sein de ladite clinique.

À noter que ce n’est pas la première fois que la clinique Sbihi connaît ce genre de drame. En 2013, pas moins de six femmes ont perdu la vie dans cet établissement en l’espace de seulement quelques semaines, les citoyens de la ville de Tizi-Ouzou avaient alors organisé plusieurs manifestations pour exiger que la lumière soit faite sur cette série de décès.



Communiqué:

Communiqué (Timunent) - L’espace vert de Raffour se trouve actuellement dans un état critique. La situation n’augure rien de bon, on vient d’assister à des manœuvres venant de quelques personnes visant à bloquer ce projet écologique à travers la privation de l’espace vert de sa seule source d’eau qui assure l’arrosage de la végétation. Notons que, ce groupuscule de personnes a choisi le moment le plus opportun pour mettre en œuvre leur dessein machiavélique qui consiste à couper cette source primordiale à la survie des arbres en cette période estivale coïncidente avec des vagues de chaleur dans laquelle les arbres ont besoin d’un arrosage régulier, y compris les arbustes que nous avons planté récemment. 
« Les bénévoles Ecolos de Raffour » appellent l’ensemble de la population de Raffour à exprimer solennellement sa solidarité et son soutien le plus absolue à ce projet écologique pour contrecarrer ces personnes nuisibles qui complotent pour mettre à genoux tous « projet commun », qui renforce les valeurs et les atouts de notre collectivité à savoir le vivre ensemble, la solidarité et entraide qui ont tant été la véritable force des citoyens de Raffour. 
« Les bénévoles Ecolos de Raffour », réitère sa détermination et sa persévérance à mener jusqu’au bout ce dessein noble.


« Les bénévoles Ecolos de Raffour »




Communiqué (Timunent) - Suite à l’empêchement violent de la conférence de RAMDANE ACHAB, invité du café littéraire d’Aokas (Vgayet), le collectif des militants kabyles pour la défense des droits humains (CMKDDH), dénonce cet acte liberticide et met en garde contre d’éventuels dérapages dont les conséquences ne seront pas maitrisables.
En fait, l’activité culturelle et intellectuelle est ciblée depuis un moment dans cette localité, et ce, sans même la moindre explication de la part des autorités locales, et encore moins de la part de la wilaya ou des institutions ministérielles algériennes.
La culture est le talon d'Achille de tous les États fondés sur l'injustice et l'oppression à l'instar de l'Algérie.
Sinon en quoi une conférence ou un café littéraire représente-il un danger pour la sécurité ? Et si ce n'est pas le cas, pourquoi faire une intrusion à l’intérieur de la salle et humilier tous les présents ? Toutes ses questions nous poussent à penser qu’une intention malsaine est derrières de tels actes, surtout en connaissant les habitudes fâcheuses du régime d’Alger.
Nous assistons à une régression énorme en matière de la libre expression. Le but recherché est de transformer en peu de temp la Kabylie en Corée du nord bis. Il est plus qu'urgent de mettre un terme à ces pratiques d'un autre âge.
Des émeutes ont éclaté suite au comportement irresponsable et infâme des services répressifs algériens. Pour déjouer desseins obscurs des pécheurs en eaux troubles, nous appelons à la mobilisation pacifique et civilisée. La prudence et la vigilance sont de rigueurs.
Nous avons relevé par ailleurs, l’agression de l’artiste caricaturiste GHILAS AINOUCH, un jeune talent dont la Kabylie est extrêmement fière. Nous lui témoignant notre entière solidarité en lui disant que tous ceux qui se sont inscrits en lettres d’or dans le combat pour la liberté l’ont fait on encaissant les coups d’une police injuste, et d’un corps malsain.
Un appel solennel est adressé aux différentes organisations des droits de l’homme et la société civile en générale, la régression est on ne peut plus dangereuse, et si rien n’est fait, nous risquons de le payer cher demain, quand un pouvoir agit en homme fou, la société quant à elle, est dans le devoir d’agir en médecin avisé.

C-230717



Tagherdayt (Timunent) - Les militants et fondateurs du mouvement pour l'autonomie du Mzab le docteur Kamel Eddine Fekhar et Kacem Soufghalem viennent d'être libérés après une détention de deux ans et une semaine dans les geôles algériennes.

A rappeler que le docteur Kamel-Eddine Fekhar et son camarade Kacem Soufghalem ont été arrêtés le 09 Juillet 2015 dans une mosquée à Taghardayt (Ghardaia) lors de la prière "Tarawih" du mois de Ramadan, cette arrestation est dû a un soulèvement populaire dans la vallée du Mzab afin de dénoncer les injustices que subissent les amazighs Mzabs depuis plusieurs années.

Le docteur Kamel-Eddine Fekhar a été libéré de l'hôpital de Médéa après la dégradation de sa santé suite a une longue grève de faim qu'il a entamé pour dénoncer les injustices dont il était victime ainsi que tous ses compagnons.




INITIATIVE (Timunent) - Depuis plusieurs jours, la Kabylie est livrée à une guerre chaude contre les pratiques coloniales du régime d'Alger, ce régime qui adopte les mêmes politiques que son prédécesseur (la France), la politique de la terre brûlée qui vise à détruire l'économie agricole en Kabylie.

Une compagne "un olivier chacun" consiste à planter un olivier pour chaque citoyen kabyle en Kabylie, que ça soi dans les régions touchées par les flammes ou ailleurs.

Un soldat tombé, dix autres se lèvent
Un olivier brûlé, dix autres poussent




A la demande de l’Assemblée Mondiale Amazighe, une délégation a été reçue ce mercredi 12 juin au parlement espagnol, au siège du groupe du parti nationaliste basque. La délégation amazighe était formée par Rachid RAHA, président de l'AMA, et deux membres du mouvement amazigh à Madrid, Abdelhamid Gambou et Marouan El Jaouari, accompagné par le grand anthropologue-immunologue Antonio Arnaiz Villena.

La rencontre organisé par le député Aitor Esteban, porte-parole du Parti Nationaliste Basque (PNV), a connu la participation de messieurs Jordi Roca Mas du Parti Populaire (PP), Ignacio Sanchez Amor du parti socialiste (PSOE), Pablo Bustinduy responsable des relations internationales du parti PODEMOS,  Joan Tarda du parti de la gauche républicaine de la Catalogne (ERC) et Jordi Xucla du parti Démocrates de Catalogne (PDeCAT).

La réunion s’est focalisé sur les événements du Rif et sur la répression du mouvement populaire rifain, mais c’était aussi l’occasion d’aborder le cas des réfugiés politiques mozabites Khoudir Sekouti et Salah Abbouna, incarcérés à la prison de Madrid à cause d’un mandat lancé contre eux par l’Etat algérien ( www.tamurt.info/lama-exige-liberation-immediate-de-deux-refugies-politiques-algeriens-amazighs/) et à propos desquelles l’AMA a demandé aux députés espagnoles d’interpeller leur gouvernement afin de les libérer et de respecter leur statut de réfugiés politiques.
Ci-contre la lettre adressée aux députés de Royaume d’Espagne :

« Excellences, Mesdames et Messieurs les députés,
Palacio de los Congresos de Madrid

 Comme vous le savez, le 4 Juillet 1991, un important traité d'amitié, de bon voisinage et de coopération entre le Royaume d'Espagne et le Royaume du Maroc a été fait à Rabat, qui est entré en vigueur le 28 Janvier 1993 et publié dans le « Journal officiel » no. 49 du 26 Février 1993, pages 6311 à 6314. Au paragraphe n ° 7, consacré au respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales des individus, stipule ce qui suit: « Les deux Parties contractantes respectent les droits de l'homme et les libertés fondamentale, y compris la liberté de pensée, de conscience, de religion ou de conviction, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion. À cet égard, ils vont promouvoir et encourager l'exercice effectif des droits et des libertés, des droits civils, politiques, économiques, sociaux, culturels et autres libertés, tous découlant de la dignité inhérente à la personne humaine et qui sont essentiels pour son libre et plein développement. Dans ce domaine, les deux parties agiront conformément à leur législation nationale, aux buts et principes de la Charte des Nations Unies et la Déclaration universelle des droits de l'homme. Ils vont également accomplir leurs obligations telles qu'elles ont été définies dans les accords internationaux pertinents et les déclarations dans ce domaine, y compris, entre autres, les Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, par lesquels ils sont liés. ».

De même, l'Etat marocain est lié par un autre accord avec l'Union européenne, dont le Royaume d'Espagne fait partie, un « accord de partenariat » dans sa politique de voisinage, qui est entré en vigueur le 1er mars 2000, et renforcé par un « statut avancé » signé le 13 Octobre 2008. Ces accords de partenariat entre l'UE et le Maroc ont comme principaux objectifs la promotion effective de la démocratie et le respect des droits l'homme, comme il est souligné dans le passage suivant: « Le respect des principes démocratiques et droits fondamentaux de l’Homme, tels qu’énoncés dans la déclaration universelle des droits de l’Homme, inspire les politiques internes et internationales de la communauté et du Maroc et constitue un élément essentiel du présent accord».
Les autorités marocaines, au lieu de respecter ces traités et ces accords d'association avec l'UE, et de travailler pour améliorer la situation des droits de l'homme dans les différentes régions du Maroc,  malheureusement, applique sur le terrain une politique claire de discrimination raciale à l’encontre des populations autochtones que constituent les Amazighs (et qui forment la majorité de la population, sachant que les autres ne sont que des Amazighs arabisés), et par conséquent, ils violent tous les instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme et les conventions internationales et ce traité d'amitié, bon voisinage et de coopération entre les deux royaumes de la Méditerranée occidentale cité ci-dessus et le « statut avancé » avec l'Union européenne.
En témoigne tout ce qui se passe tous les jours dans la région du Rif, et qui commence à creuser un fossé entre les autorités centrales et les populations périphériques, tels les Amazighs de l'ancienne colonie espagnole.

On est stupéfait de voir qu’au lieu de satisfaire les demandes légitimes d'ordre économique, social, culturel et environnemental des jeunes manifestants du Rif, le gouvernement marocain a utilisé la politique du bâton et de la violence, en réprimant les citoyennes et les citoyens qui se sont manifestés et qui continuent à sortir pour protester pacifiquement dans la ville d'Al Hoceima et d'autres villes et villages du Rif. Après une campagne d’arrestations arbitraires menée sans respect pour la loi ni pour les chartes internationales des droits de l’homme, l’Etat, directement ou indirectement, a orchestré des campagnes médiatiques pour diaboliser et discréditer les manifestants dans le Rif et dans les autres régions du pays. Il a procédé à l’arrestation du leader de la protestation, Nacer Zafzafi et plus de 200 activistes de la contestation populaire dans le Rif, dont des dizaines d’ activistes du Mouvement Populaire du Rif ont été condamnés injustement à de lourdes peines par le tribunal de première instance d'Al-Hoceima, dans l’attente de suivre celle de tribunal de Casablanca. Même le jour de la fin du l’aid, supposé jour de paix et de fraternité, les forces de sécurité ont sévèrement réprimé les femmes et les enfants!

En plus, cette région qui a donné de grands résistants au colonialisme, tel Mohamed Charif Amezyane et Mohamed Abdelkrim Al-Khattabi et à l’armée de libération nationale, a non seulement été marginalisée par l’Etat, bien plus, elle fut l’objet de politique d’appauvrissement à tel point que l’Etat continue à spolier les terres des tribus. Et pour cela, nous citons comme un simple exemple, l’action de l’Etat en 2016  qui a abouti à la spoliation de plus de  trente mille (30.000) hectares que dans la province d’Al-Hoceima.
Cette actuelle politique de répression témoigne de la volonté du système à inaugurer la transition dictatoriale et l’édification d’un Etat géré avec une main de fer. Fait que combattent tous les citoyennes et citoyens Amazighes dans différentes régions du Maroc et dans la diaspora européenne, de manière pacifique, pour dénoncer les atermoiements et les campagnes qui visent la contestation et poursuivre la lutte acharnée en faveur d’un Etat civil démocratique, où il y devrait avoir séparation des pouvoirs, et être régie par les valeurs d’égalité: égalité des droits entre les hommes et les femmes, entre les régions et égalité entre la langue amazighe et la langue arabe.

En définitive, nous demandons votre intervention afin d’appeler l’attention de l’actuel gouvernement d'Espagne pour se pencher sur ce sujet, parce que si nous laissons les choses se détérioraient davantage, cela aura des conséquences catastrophiques sur l'avenir de la citoyenneté espagnole. Par conséquent, le gouvernement espagnol, à travers son ministre des Affaires étrangères, devrait rappeler les responsables du gouvernement du pays voisin de leurs engagements en faveur du respect des droits de l'homme contenues dans les traités signés entre les deux parties et cités ci-dessus. Il faut prendre des mesures urgentes afin de demander aux autorités marocaines de stopper ces dérives autoritaires et répressives, de procéder à la libération immédiate et inconditionnelle de tous les prisonniers politiques, à commencer par leur chef Nacer Zafzafi. Et de les convaincre que la seule solution à cette révolte sociale est d'établir un dialogue sincère et responsable entre les manifestants et l'Etat, de s'asseoir autour d'une table pour définir un calendrier et les moyens à mobiliser pour répondre à leurs demandes légitimes.
Travaillons nous tous pour que le Maroc réussit dans la construction d'un Etat démocratique, qui travaille pour le bien-être de son peuple, et de le tenir pleinement intégré dans la communauté internationale.

Cordialement,
Signé : Rachid RAHA, président de l’Assemblée Mondiale Amazighe.


http://www.amadalpresse.com/%D9%85%D8%AF%D8%B1%D9%8A%D8%AF-%D8%AD%D8%B1%D8%A7%D9%83-
%D8%A7%D9%84%D8%B1%D9%8A%D9%81-%D9%8A%D8%AC%D9%85%D8%B9-%D8%A7%D9%84%D8%B1%D8%A7%D8%AE%D8%A7-%D8%A8%D8%A7%D9%84%D8%A3%D8%AD%D8%B2%D8%A7/
            

From: Assemblée Mondiale Amazighe <assemblee.mondiale.amazighe@gmail.com>
Date: 2017-07-13 3:15 GMT+02:00
Subject: LA REVUELTA SOCIAL EN EL RIF LLEGA AL PALACIO DE LOS DIPUTADOS DE ESPAñA
To: Lemonde Amazigh <lemondeamazigh@gmail.com>

LA REVUELTA SOCIAL EN EL RIF LLEGA AL PALACIO DE LOS DIPUTADOS DE ESPAñA

A petición de la Asamblea Mundial Amazighe, una delegación amazighe fue recibida el miércoles 12 de junio en el Parlamento español en la sede del grupo de PNV. La delegación bereber estaba formado por Rachid RAHA, presidente de la AMA, y dos miembros del movimiento amazigh en Madrid, Marwan Abdelhamid y El Gambou Jaouari, y acompañados por el gran antropólogo e  inmunólogo Antonio Arnaiz-Villena.

El encuentro fue organizado por el diputado Aitor Esteban, portavoz del Partido Nacionalista Vasco (PNV), y contó con la participación de los señores diputados Jordi Roca Mas del Partido Popular (PP), Ignacio Sanchez Amor del Partido Socialista (PSOE), Pablo Bustinduy de las  relaciones internacionales del partido PODEMOS, Joan Tardá del Partido Izquierda Republicana de Cataluña (ERC) y Jordi Xuclà del Partido Demócrata de Cataluña (PDeCAT).

La reunión se centró sobre los recientes acontecimientos en el Rif y sobre la represión del movimiento popular rifeño, pero también fue una oportunidad para abordar el caso de los refugiados políticos Khoudir Sekouti y Salah Abbouna encarcelados en la prisión de Madrid, pendientes de una injusta orden de extradición lanzada por las autoridades argelinas para acallar los líderes del movimiento autonomista de la región del Mzab ( http://www.europapress.es/ceuta-y-melilla/noticia-ong-internacional-exige-liberar-dos-argelinos-detenidos-espana-orden-argelia-presuntos-yihadistas-20170710174516.html) .

A continuación, la carta entregada por el máximo responsable de la Asamblea Mundial Amazighe a los señores diputados:

Excelentísimas diputadas e excelentísimos diputados
Palacio de los Congresos de Madrid
 
 
Como sabrán, en el 4 de julio de 1991 se acordó un importante tratado de amistad, buena vecindad y cooperación entre el Reino de España y el Reino de Marruecos, hecho en Rabat, que entró en vigor el 28 de enero de 1993, y publicado en el “BOE” núm. 49, de 26 de febrero de 1993, páginas 6311 a 6314. En su párrafo número 7, dedicado al respeto a los derechos humanos y a las libertades fundamentales de las personas, recoge lo siguiente: “Las Altas Partes Contratantes respetarán los derechos humanos y libertades fundamentales, incluyendo la libertad de pensamiento, conciencia, religión o creencia, sin distinción por motivos de raza, sexo, idioma o religión. En este sentido, promoverán y fomentarán el ejercicio efectivo de los derechos y libertades civiles, políticos, económicos, sociales, culturales y otros derechos y libertades, todos los cuales derivan de la dignidad inherente a la persona humana y son esenciales para su libre y pleno desarrollo. En este campo, ambas Partes actuarán de conformidad con sus legislaciones internas respectivas, con los propósitos y principios de la Carta de las Naciones Unidas y con la Declaración Universal de los Derechos Humanos. Cumplirán también sus obligaciones tal y como han sido definidas en los pertinentes acuerdos y declaraciones internacionales en este terreno, incluyendo entre otros los Pactos Internacionales de Derechos Humanos, por los que puedan ser obligados.”.
 
Lo mismo, el estado marroquí acordó con la Unión Europea, de la que forma parte el Reino de España, otro tratado vinculando el Reino de Marruecos a la UE con un "acuerdo de asociación" en su política de vecindad, que entró en vigor el 1 de marzo de 2000, y reforzado por un "estatuto avanzado", firmado el 13 de octubre 2008. Estos acuerdos de asociación entre la UE y el Reino de Marruecos tienen como objetivos principales  la promoción efectiva de la democracia y el respeto de los derechos humanos, como se indica en el siguiente pasaje: "respeto de los principios democráticos y los derechos humanos fundamentales, consagrados en la Declaración universal de los derechos humanos, inspira las políticas internas e internacionales de la comunidad y Marruecos y constituye un elemento esencial de este acuerdo".
 
Las autoridades de Marruecos, en lugar de respetar estos tratados y estos acuerdos de asociación con la UE, y trabajar por mejorar la situación de los derechos humanos en las distintas regiones de Marruecos, practican desafortunadamente sobre el terreno una clara política de discriminación racial en contra de las poblaciones indígenas que constituyen los Amazighs (y que forman la mayoria de la poblacion, sabiendo que los demas son Amazighs arabizados), y de paso violan todos los instrumentos internacionales de derechos humanos y los convenios internacionales, así como el tratado de amistad, buena vecindad y cooperación entre los dos reinos del Mediterráneo occidental y el "estatuto avanzado " con la Unión Europea.
 
Por desgracia es lo que esta aconteciendo diariamente en la región del Rif, y que empieza a profundizar la brecha existente entre el poder central y las poblaciones periféricas, como son los Amazighs de la antigua colonia española.
Con estupefacción, en vez de satisfacer las demandas legítimas de orden económico, social, cultural y ambiental de los jóvenes manifestantes del Rif, el gobierno marroquí ha utilizado la política del palo y de la violencia, reprimiendo las ciudadanas y los ciudadanos que salieron, y que continúan a salir a protestar pacíficamente en la ciudad de Alhucemas y otras ciudades y pueblos del Rif. Después de una campaña de detenciones arbitrarias llevada a cabo sin respeto a la ley ni a las cartas internacionales de derechos humanos, el Estado, directa o indirectamente, orquestra campañas mediáticas para demonizar y desacreditar a los manifestantes en el Rif y en otras partes del país. Se detuvo al líder de la protesta, Nacer Zafzafi y más de 200 activistas de la protesta popular en el Rif, decenas de activistas del Movimiento Popular de los Rif fueron condenados injustamente a largas penas a partir del 14 de junio por el tribunal de primera instancia de Alhucemas con penas de un año y medio de prisión. Incluso el día de la pasqua del fin del ramadán, que se supone día de paz y de fraternidad, las fuerzas de seguridad reprimieron severamente a mujeres y a los niños!
 
Desafortunadamente, esta región norteña que dio grandes figuras de resistencia al colonialismo europeo como Mohamed Charif Amezyan y Mohamed Abdelkrim Al Khattabi, y la formación del Ejército de Liberación que acabo de arrancar la independencia, no sólo ha sido marginada por el Estado marroquí, por sus diferentes gobiernos a lo largo de estas seis décadas, sino ha sido víctima de una  política sujeta al agotamiento hasta el punto de que el estado sigue despojando tierras a las tribus amazighes del Rif y del resto de Marruecos. Citamos como un simple ejemplo, la acción del Estado en 2016, que resultó en la expropiación de más de treinta mil (30.000) hectáreas solamente en la provincia de Alhucemas.
Esta actual política de represión demuestra el compromiso del sistema para inaugurar la transición dictatorial y la construcción de un estado administrado con mano de hierro. Es a lo que se oponen todos los ciudadanos amazighs en las diferentes regiones de Marruecos y en la diáspora europea, manifestándose pacíficamente y reclamando la construcción entre todos de un estado civil democrático, donde haya separación de poderes, y que se rige por los valores de la igualdad: igualdad de derechos entre el hombre y la mujer, entre las regiones y entre el idioma amazighe y el idioma árabe.
 
En definitiva, solicitamos su intervención para que forcéis al actual gobierno de España a tomar parte en este asunto, porque si dejamos que las cosas se deterioran aún más, esto va a tener unas consecuencias catastróficas sobre el futuro de la ciudadanía española. Por eso, el gobierno español, a través de su ministro de asuntos exteriores, debe recordar a los responsables gubernamentales del vecino país de sus compromisos de cara al respeto de los derechos humanos, recogidos en los tratados firmados entre ambas partes y citados arriba. Que pida a estos a que tomen medidas urgentes para frenar esta preocupante deriva autoritaria y represiva del gobierno marroquí. Que solicite la liberación inmediata e incondicional de todos los presos políticos de la protesta en el Rif, empezando por su lider Nacer Zafzafi. Y subrayar que la única solución es entablar un diálogo sincero y responsable entre los manifestantes y el Estado, que se sienten alrededor de una mesa para fijar un calendario y medios a movilizar para satisfacer sus legítimas demandas.
Trabajemos entre todos para que  Marruecos tenga éxito en la construcción de un estado democrático, que trabaje por el bienestar social de su pueblo, y para que siga plenamente integrado en la comunidad internacional.
Cordialmente,

Firmado:  Rachid RAHA,
Presidente de la Asamblea Mundial Amazighe.
 
Nota: os adjuntamos una entrevista a Raha sobre la revuelta social del Rif en este enlace:
http://atalayar.com/content/rachid-raha-%E2%80%98queremos-promocionar-el-modelo-auton%C3%B3mico-en-marruecos%E2%80%99 




Urgent (Timunent) - Après Salah Abouna, la police Espagnole a procédé hier à l'arrestation de Khodir Sekouti pour le même motif: un mandat d'arrêt international a été émis à son encontre par les autorités algériennes.

Les deux Cadres du Mouvement pour l'Autonomie du Mzab en exil sont mis dans un centre de détention à Melilla en attendant leur transfert à Madrid pour être jugés.




Sport (Timunent) - Une marche grandiose suivie d'un sit-in ont été organisés aujourd'hui 1er juillet à Tizi Ouzou par les supporteurs et les fidèles du club phare de la Kabylie (JSK) pour exiger le départ du président Mohand Cherif Hannachi qui ne cesse d'entraîner le club vers le bas, ce club qui était indétrônable au championnat algérien et même dans les compétitions continentales se retrouve aujourd'hui dans des situation ou il est obligé de corrompre des club pour assurer le maintien dans la première division.


Voir la vidéo:



At Dwala (Timunent) - Le village Taourirt Moussa d'At Dwala s'est réveillé ce matin un assassinat odieux perpétré par trois personnes sur une femme âgée d'une quarantaine d'années.

En effet, une femme a été sauvagement assassinée dans la nuit de mercredi à jeudi dans la commune d’At Mahmoud, relevant administrativement de la région d'At Dwala à une vingtaine de kilomètre au sud de Tizi-Ouzou, a-t-on appris ce vendredi 30 juin d’une source locale.

Ce nouveau crime odieux serait lié à un vol qui a mal tourné. Les trois auteurs présumés du crime ont été arrêtés par la gendarmerie qui a également récupéré des objets volés.




Affaire Matoub (Timunent) - Au lendemain des déclarations de Malika Matoub au quotidien La dépêche de Kabylie affirmant qu’il détenait des éléments qu’il n’a pas révélés à la justice dans l’affaire de l’assassinat de Lounès Matoub, le député Nordine Aït Hamouda est sorti de son silence et affirme connaître les auteurs du crime.

En effet, Noredine Ait Hamouda qui était longtemps accusé de complicité dans l'affaire Matoub a affirmé à La vois d'Algérie qu'il connait les assassins du rebelle: « Moi, je connais particulièrement les assassins, certains sont morts d’autres sont encore en vie, mais aucun d’eux n’a été condamné » à t-il affirmé,  et et rajoute qu'il est prêt à témoigner si un véritable procès Matoub Lounès est ouvert: « si la justice décide de l’ouverture du vrai dossier qui s’appelle procès Matoub Lounès et de tenir un procès public, j’irais apporter mon témoignage même si je ne sois pas convoqué » à t-il déclaré.

Après insistance par le journaliste de La voix d'Algérie sur l'identité des assassins, Noredine Ait Hamouda s'est contenté de répondre: « le groupe qui a assassiné Matoub Lounès n’avait pas prémédité de le faire, car il embusquait contre la patrouille de la Gendarmerie nationale de Béni-Douala » et ajoute que Abdelhakim Chenoui, déjà jugé en 2011 dans le cadre de l’affaire avec Malik Medjnoun, faisait bien partie du groupe qui a assassiné le chanteur. « C’est Chenoui qui a reconnu la voiture de Lounès et a annoncé au groupe  "voilà Matoub Lounès" ! . A ce moment-là, le groupe terroriste décida de l’assassiner. » a-t-il affirmé, sans plus de détails, se contentant de dire qu’il compte donner plus de précisions au juge.




Condoléances (Timunent) - Nous venons d'être informé du décès de la romancière, poétesse kabyle Dihya Lwiz de son vrai nom (Louiza Aouzelag) à fleur d'age ce matin à Ighze Amoqran dan le département de Vgayet, jeune de son age qui avec peu de moyen, a su laisser une belle et sublime empreinte.

En 2016, Dihya Louiz, est lauréate du prix Mohamed Dib du roman en Tamazight : " Gar igenni d tmurt".

L'équipe Timunent présente ses sincères condoléances à la famille de la défunte, et à ses proches.



Tamda (Timunent) - Un jeune homme vient de perdre la vie à Tizi Ouzou dans la région de Tamda après être percuté par une voiture alors qu'il traversait l'autoroute, des témoins indiquent que la voiture roulait à une vitesse extrême ce qui n'a pas laisser le temps au chauffeur d'éviter l'accident, ni à la victime de le fuir.

Les victimes des accidents de la route sont en hausse depuis le début de l'année en cours, et aucun précaution n'a été prise jusque là pour mettre fin à ce danger que courent les citoyens quotidiennement.






Amazighophobie (Timunent) -  La très controversée députée de Boumerdès vient encore une fois de plus s’illustrer par des propos indigne d’une représentante du peuple et de la wilaya amazighophone où elle a été parachutée par ses parrains.

En effet, dans une déclaration faite à une chaîne de télévision parapublique, la militante pro polygamie, trouve que « la constitution qui a officialisé Tamazight ne doit pas s’appliquer sur elle mais plutôt sur les générations futures ».  Revenant sur l’altercation qu’il y eut entre les députés du RCD et ceux du FLN qui ne voulaient pas entendre un mot amazigh au sein du parlement algérien, Naïma Salhi, dit qu’elle est trop vieille pour apprendre cette langue et tente de justifier les propos indécents et indignes de sa collègue du FLN.

Celle qui est censée être un législateur, ne s’encombre pas, apparemment, par le fait de piétiner la constitution lorsqu’il s’agit de tamazight.

Source: Ameslay



France (Timunent) - Un homme a tenté jeudi de foncer en voiture dans la foule devant la mosquée de Créteil (Val-de-Marne), sans faire de blessés, et a été interpellé par la police, annonce Le Parisien.

Selon le site internet du quotidien, il aurait déclaré avoir voulu « venger le Bataclan et les Champs-Elysées ».

Des jihadistes avaient tué 90 personnes en 2015 dans la salle de spectacle parisienne en le 23 novembre 2015 et un homme a foncé sur un convoi de gendarmerie le 19 juin dernier avec sa voiture bourrée d’armes, tentative d’attentat dans laquelle il a trouvé la mort, sans oublié l'attentat de Nice et le policier assassiné ainsi que l'affaire Farid IKKEN.




Sport (Timunent) - Le président de la JSKabylie Mohand Cherif Hannachi a évoqué aujourd'hui le mercato de sa formation après avoir convaincu Saadou et Chetti de signer leurs contrats, et il affirme qu'il n'en reste pas là, et qu'il compte conclure aussi avec Zaabia qui vient de quitter l'Espérance Sportive de Tunis.

Par ailleurs, le président du club a evoqué la question Boulaouidat qui a suscité des interrogations ces derniers jours en affirmant que ce dernier est proche de quitter la maison kabyle pour un club algérois.

Et en ce qui concerne le nouvel entraîneur de la JSK pour la saison prochaine, Mohand Cherif Hannachi a préféré faire durer le suspens en gardant le secret de son identité, mais il estime que la décision revient aux supporters et la barre technique sera élargie, comme il souligne .

Voir la vidéo:



La direction de la JSK a pris contact avec le joueur libyen Mohamed Zaabia qui vient d'être libéré par son club Espérance Sportive de Tunis, Il parrait que le président du club Kabyle Mohand Cherif Hannachi a déjà tout organisé pour que l'ancien joueur du club reprenne ses services.

D'après nos sources,  l’ancien attaquant de la JSKabylie a déjà négocié son contrat avec les responsables du club Kabyle et signera aujourd'hui un contrat de 2 ans.




Le parti algérien Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) est secoué une nouvelle fois par une nouvelle démission collective depuis les dernières élections législatives du 04 mai.

En effet, après la démission du P/APC de Tizi-Ouzou Ouahab Aït Menguellet pour n'avoir pas eu droit à un siège au parlement algérien suivie de celle de trois membres de la section communale du RCD de Tizi-Ouzou, c’est cette fois à trois autres militants, dont deux membres du conseil national, de claquer la porte du parti de Mohcine Belabbès. La lettre de démission adressée au président de la section du RCD d’Azazga en date du 22 juin dernier est signée entre autres par Hocine Messaoudi et Kamel Messadi dit Djamel, tous deux membres du conseil national du parti de Mohcine Belabbès et respectivement vice-président et président de l’APC d’Azazga entre 2007 et 2012.




Fuite des cerveaux (Timunent) - Hamid Hadjar est un jeune kabyle originaire du village Imaghdacen dans les hauteurs d'Akfadou dans la région de Vgayet, ce jeune qui n'a pas eu la chance d'exercer chez lui, en Kabylie qui demeure une nation sans Etat, occupée par l'Algérie, cette même Algérie qui n'investit en rien en Kabylie, encore pire, elle réduit son budget annuel de plus 50%, ce qui encourage les cerveaux kabyles à fuir leur pays pour mettre son savoir à la disposition des pays qui savent ce que vaut un cerveau.

Hamid Hadjar travaille dans la construction des robots et des lignes de productions pour de grandes entreprises comme: BMW..Mercedes..Airbus..etc
Il a travaillé avec une entreprise française "Daher" pour les aider à moderniser leurs lignes de production d'avions, il fait une démonstration au Président français Emmanuel Macron, pour expliquer comment on peut moderniser les usines Françaises.




Algérie (Timunent) - Le rapport annuel publié hier mardi 27 juin 2017 par les Etats Unies concernant le trafic des êtres humain a placé l'Algérie au deuxième niveau, ce qui la met sous surveillance internationale au même titre que Haîti.

Selon le journal (lapresse) canadien, et lors de la cérémonie organisée par le ministère des affaires étrangères américain, au siège du ministère en question, le ministre américain des affaires étrangères Rex W. Tillerson a affirmé dans son rapport annuel que l'Algérie est placée au niveau 2 et Catégorie "B", ce qui la met sous surveillance internationale.




JSK (Timunent) - L’attaquant Nigérian proposé à la JS Kabylie, Ighodaro Christian Osaguona est attendu dans les prochains jours à Tizi-Ouzou pour signer son contrat avec le club phare de la Kabylie.

Agé de 27 ans, il portait les couleurs du club marocain, Raja Casablanca a évolué la saison écoulée dans le championnat Belge, FC Malines. L'avant-centre Ighodaro Christian Osaguona a été sélectionné deux fois en équipe nationale du Nigéria.




Tizi Ouzou (Timunent) - Le budget supplémentaire de la wilaya de Tizi Ouzou pour l’année 2017 a connu une réduction de plus de 50% comparé à l'année précédente, comme attendu, la politique l'austérité n'a pas épargné la Kabylie, après avoir supprimé tous les projets de develloppement à Tizi Ouzou, le pouvoir algérien décide de réduire son budget de plus de la moitié.

Le budget a été voté aujourd'hui, 28 juin, par l’Assemblée populaire de wilaya (APW). Selon le nouveau P/APW Mohamed Msela, ce budget supplémentaire est devenu “insignifiant”. Il a connu, a-t-il dit, une réduction de plus de 50%.

“La coupe est drastique puisque sa réduction est de plus de 50%. L’austérité est bien là. On peut même penser que notre pays est entré en récession. Le budget supplémentaire 2016 était de l’ordre de 47 milliards. Pour cette année 2017, il est descendu à 23 milliards“, a-t-il déclaré à l’ouverture de la session ordinaire de l’APW.

Selon le chef de groupe des élus du RCD à l’APW, le budget supplémentaire a connu une baisse de 67% depuis l’année 2015.

Pour lui, la situation de la wilaya est devenue “très difficile” et qu’il faut une forte intervention pour “éviter un débordement“.

Par ailleurs, les budget annuels réservés à "la cause Palestinienne" et du "Polisario" ne sont réduit d'aucun centime, l'austérité n'est pas passé par là, la politique l’appauvrissement de la Kabylie a redoublé de vitesse et l'opinion publique demeure dans l'Omerta.




Tizi Ouzou (Timunent) - Une femme dont un mandat d’arrêt international a été lancé contre elle par Interpol serait arrêtée la semaine dernière à Tizi-Ouzou, indique aujourd’hui la sûreté de la capitale de Djurdjura dans un communiqué.

Il s’agit d’une femme âgée d’une quarantaine d’années, recherchée par Interpol pour escroquerie et usage de faux, suite à la création d'une société commerciale fictive dans un autre pays où la justice l’avait condamnée à une peine de prison par contumace. Elle a été arrêtée durant la semaine dernière dans la ville de Tizi-Ouzou puis présentée devant le procureur, cette quadragénaire a été placé sous contrôle judiciaire.



Le nommé IBRI Ahmed âgé de 74 ans a disparu de son domicile sis à AIT El Hadj- AT DWALA, le 26 juin 2017 et n'est pas revenu. Épileptique, il perd connaissance par moment. prière a toute personne l'ayant aperçu de contacter les numéros suivants:

0557 44 81 14
0550 81 44 71
0773 02 60 41
0664 22 79 11

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JSK (Timunent) - Les supporteurs et les fidèles du club phare en Kabylie JSK ont appelé à un rassemblement Samedi 1er Juillet à Tizi Ouzou au niveau de la place Matoub Lounès pour exiger le départ immédiat du président actuel du club Mohand-Cherif Hannachi qui ne cesse d’entraîner ce symbole dans le précipice, ce rassemblement aura lieu à 10h.




Radio Tiziri (Timunent) - 19 ans passés depuis l'assassinat de Lounes MATOUB, et il n'y a jamais eu de procès équitable pour cette affaire

Sa femme, Nadia MATOUB sera l'invitée de l'émission INAGAN sur radio TIZIRI vendredi le 30 juin 2017 à 20h (21h Heure française), elle répondra aux questions qui intriguent l'opinion publique. L'emission sera présentée par: Malika At Mammar et Yahia at LAAZIZ

Soyez à l'écoute




Appel en détresse, Lakhbat Djelloul, un citoyen kabyle du département de Vgayet appelle aux âmes charitables pour l'aider a dépasser la crise dans laquelle il se trouve depuis son accident de route en 2004, les médecins lui ont conseillé une intervention à l'étranger, et ses moyens ne lui permettent pas ce genre d'opérations.

Il est claire que les primes de 4000 Dinars que touchent les handicapés en Algérie ne suffisent pas répondre aux besoins d'une famille, même pas pour une semaine, c'est pourquoi, cet homme veut assumer personnellement les frais de sa petite famille en travaillant, mais pour cela, il faudra d'abord qu'il fasse cette intervention dans des hôpitaux étrangers.

Un numéro de téléphone est un compte CCP sont mis à la disposition du grand public pour ceux qui désirent le contacter et l'aider:

Tel: 0775802073 / 0790621297
CCP: 10595497 clé 60

Voir la vidéo ci-dessous:



La diaspora a répondu en force à l'hommage au rebelle Matoub Lounes aujourd'hui.
Le combat de Matoub pour une république de Kabylie a été adopté par les siens comme il la toujours dit: "Je ne sais pas a quel moment s’achèvera le terme de ma vie, mais je suis sûr d'une chose, c'est que mon peuple ira toujours dans le sens de sa libération"
Un gala artistique a été au menu ou plusieurs chanteurs kabyles engagés dont Amirouche ont été au rendez-vous


C'était mardi 18 juin dernier que Nadia Matoub, la veuve du Rebelle, a foulé de ses pieds le seuil de la demeure conjugale à Taourirt Moussa, de laquelle a elle été interdite par sa belle famille depuis 19 ans. Après un recueillement plein de chagrins et de douleurs sur la tombe de son défunt mari, Lounès Matoub, Nadia, prenant le courage par toutes ses tripes, y accéda enfin dans la maison où elle n’avait vécu avec son époux moins d’un an, avant qu’il ne soit ravi à tous les Kabyles, pas qu’à elle seule.

Nadia est chez «elle ». Elle y passe trois heures. Le clair de ce temps, Nadia le vit dans la chambre conjugale où elle est allé cherchée l’odeur de son mari… Une odeur qui n’y plus malheureusement, dit-elle.

Puis, elle redécouvre la voiture « immense » criblée de 78 balles le jeudi 25 juin 1998. L’odeur de l’horreur y est toujours, mais Nadia ressort de la maison franchie de tous les maux psychologiques qu’elle avait enduré 19 ans durant.

Dans cette interview réalisée à son retour en France, Nadia nous relate brièvement ces 19 années d’amertumes…



Journaliste: 16 ans que vous n’avez pas remis  les pieds dans votre maison conjugale, la demeure du défunt  rebelle Matoub Lounès. Quel est votre sentiment quand vous avez franchi le seuil de sa porte après tant d’années ?

Nadia Matoub: Cela fait 19 ans que je n’ai pas mis les pieds dans notre foyer à Taourirt Moussa. La dernière fois que j’ai tenté d’y rentrer, c’était en 2001 et on m’en a empêchée. Aujourd’hui, j’éprouve une double satisfaction, car après avoir réussi à suspendre le projet du classement de la demeure de Lounès comme patrimoine culturel national algérien, je réintègre cette maison qui enferme en son sein la vie que j’ai partagée avec lui.

Ce retour a été nécessaire dans le processus de ma reconstruction personnelle, car après avoir subi le déni, ce cap est une réconciliation avec ma propre histoire. Il s’agit du résultat d’un travail de discussion et de négociation entre mon conseil Me Amrani Mounir et les conseils de la famille. Malgré la surcharge émotionnelle, ce passage a marqué un certain apaisement chez moi.

Le classement de la maison de Lounès comme patrimoine culturel National est suspendu après votre opposition. Comment votre belle famille a reçu cette suspension ?

Je souhaite plutôt exprimer mon propre sentiment. La nouvelle de la suspension de la procédure de classement arrive plus d’un an après ma première opposition. Après plusieurs mois sans réponse, une nouvelle opposition a été adressée à la direction de la culture et à l’administration de la wilaya par voie d’un huissier.

Le 11 juin 2017, je reçois un courrier de la direction de la culture m’apprenant la nouvelle de l’arrêt momentané de ce projet.

J’aimerais adresser mes remerciements à tous ceux qui m’ont soutenue dans cette démarche car je sais que cette « victoire » est la nôtre et je reste persuadée que l’opinion publique a son poids dans cette décision. Néanmoins, je reste vigilante quant à toute autre tentative de récupération ou de contrôle sur la mémoire de Lounès.

19 ans après l’assassinat de votre époux, beaucoup de gens y compris votre belle sœur se posent des questions, comment se fait-il que vous êtes sortie vivante vous et vos sœurs ? Cela ne constitue-t-il pas le fond des problèmes entre vous et votre belle famille ?

19 ans après l’assassinat de Lounès, on ne connait ni les exécutants ni les commanditaires de ce crime qui a secoué violemment la Kabylie. Lors de l’attentat qui a couté la vie à mon mari, j’ai été grièvement blessée, mes petites sœurs également. Il a fallu se soigner pendant des années. On m’a laissée pour morte ce jour-là. J’ai été hospitalisée pendant 40 jours et pendant les 10 premiers jours les chirurgiens qui m’avaient prise en charge étaient très inquiets quant à mes chances de m’en sortir.

Après de lourdes opérations chirurgicales à Tizi-Ouzou et à Alger, mes sœurs ont continué leurs soins en France où elles ont subi d’autres opérations à l’hôpital Begin et l’hôpital Saint Antoine à Paris en 2000.

Et je ne vous parle pas de toutes les souffrances psychologiques que ce genre de traumatisme puisse engendrer. Je pense que ce que je viens de vous évoquer brièvement répond largement à votre question.

Interview réalisée par Nabil SAÏDI

Source: lavoixdalgerie

Jugurtha Yazid

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