Algérie (Timunent) - Quelques semaines après le remaniement ministériel en Algérie, et la désignation d'Abdelmadjid Tebboune au poste de premier ministre à la place d'Abdelmalek Sellal, voila que l'ex ministre algérien de l'habitat sort de la petite porte et remplacé par Ahmed Ouyahia, qui occupait jusque la le poste de directeur du cabinet présidentiel.

A rappeler, qu'Ahmed Ouyahia était déjà premier ministre, désigné d'urgence pour éteindre la flamme du printemps noir en 2001, sa désignation 16and après a t-elle un rapport avec l'avancement du projet indépendantiste en Kabylie?




Qatar (Timunent) - Les autorités générales du tourisme Qataris a annoncé ce matin avoir exonéré les citoyens de 80 pays du visa d'entrée sur le sol du Qatar, ceci après la crise qui a frappé à sa porte depuis un peu plus d'un mois, le plus remarquable dans cette décision est le fait que ce pays arabe n'ait cité aucun pays arabe avec lesquels il partage des frontières, dans la liste des pays concernés, ni même pas l'Algérie qui avait pris position en sa faveur lorsque plusieurs pays ont décidé de la boycotter.

Voir les pays concernés:




Kateb Yacine: "Je suis d’abord allé à l’école coranique, je n’aimais pas la religion, en fait je l’ai detesté, en particulier quand on nous frappait avec une règle sur la plante des pieds pour nous faire apprendre le Coran, par cœur. À l’école française, la maîtresse était comme une seconde mère pour nous. Celle que j’ai eue était extraordinaire. Elle savait comment nous intéresser. Elle nous donnait envie d’aller à l’école.
L’Algérie est un pays subjugué par le mythe de la nation arabe, car c’est au nom de l’arabisation que l’on réprime le Tamazight. En Algérie, comme dans le monde entier, on croit que l’arabe est la langue des Algériens.
Aujourd’hui, par les armes, nous avons mis fin au mythe ravageur de l’Algérie française, mais pour tomber sous le pouvoir d’un mythe encore plus ravageur : celui de l’Algérie arabo-musulmane, par la grâce de dirigeants incultes. L’Algérie française a duré cent trente ans. L’arabo-islamisme dure depuis treize siècles ! L’aliénation la plus profonde, ce n’est plus de se croire français, mais de se croire arabe. Or il n’y a pas de race arabe, ni de nation arabe. Il y a une langue sacrée, la langue du Coran dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité !
C’est l’arabo-islamisme qui a abouti à l’asservissement et à la dégradation de la femme chez nous.
Ces religions ont toujours joué un rôle néfaste. Il faut s’y opposer avec la dernière énergie. On les voit maintenant à l’œuvre. On les voit en Israël, en Palestine, on les voit partout. Ces trois religions monothéistes font le malheur de l’humanité. Ce sont des facteurs d’aliénation profonde. Voyez le Liban. Ça se passe devant nous. Regardez le rôle des chrétiens, des musulmans et des juifs. Il n’y a pas besoin de dessin. Ces religions sont profondément néfastes et le malheur de nos peuples vient de là. Le malheur de l’Algérie a commencé là. Nous avons parlé des Romains et des chrétiens. Maintenant, parlons de la relation arabo-islamique ; la plus longue, la plus dure, la plus difficile à combattre […] C’est dur de lutter contre une telle couche d’aliénation. Pendant ces treize siècles, on a arabisé le pays mais on a en même temps écrasé le tamazight, forcément. Ça va ensemble. L’arabisation ne peut jamais être autre chose que l’écrasement du tamazight. L’arabisation, c’est imposer à un peuple une langue qui n’est pas la sienne, et donc combattre la sienne, la tuer. Comme les Français quand ils interdisaient aux écoliers algériens de parler arabe ou tamazight parce qu’ils voulaient faire l’Algérie française. L’Algérie arabo-islamique, c’est une Algérie contre elle-même, une Algérie étrangère à elle-même. C’est une Algérie imposée par les armes, parce que l’islam ne se fait pas avec des bonbons et des roses. Il s’est fait dans les larmes et le sang, il s’est fait par l’écrasement, par la violence, par le mépris, par la haine, par les pires abjections que puisse supporter un peuple. On voit le résultat."

« Aux origines des cultures du peuple : entretien avec Kateb Yacine » (1987), dans Revue Awal, n° 9/1992.



LNI (Timunent) - Les habitants du village d’Ikhlidjene de la commune de Larbaa Nath Irathen, à 27 km au sud-est de la wilaya de Tizi-Ouzou, ont organisé, pendant trois jours le 2 le 3 et le 5 du mois en cour, des festivités culturelles pour enfants, et un concours culinaire du meilleur couscous pour les femmes.

« 130 enfants ont participé aux festivités concours », a souligné Mohand Amoukrane Loumi, président du comité de village.

Le dernier jour a été marqué par une exposition/­dégustation du couscous préparé par des candidates du concours du meilleur couscous. Ces festivités ont été clôturées par une soirée artistique au centre du village, Différents modes d’expression artistique étaient au rendez-vous, tels que la chorale et la musique. La troupe théâtrale a su aussi faire valoir son potentiel et émerveiller le public à l’image d’un groupe d’enfant, qui ont présenté un merveilleux sketch, les thèmes abordés ont fait replonger l’assistance dans l’atmosphère des vieux contes et légendes.

En guise d’encouragement, les trois premières lauréates aux concours du meilleur couscous pour femmes, ont été honorées ainsi que les enfants ayant participés aux concours.

Enfin, ces activités restent un moyen permettant à l’ensemble des habitants du village d’œuvrer pour le rassemblement, l’union et la fraternité afin de pouvoir vivre en communauté.

Source: Le Jeune Observateur


Amezruy (Timunent) - Agerruj iɛerqen n Yuba II, d azwel n udlis yura Frank Joseph s teglizit ɣef yifri n ugerruj issewhamen n Illinois n unẓul, akked wamek wwḍen Ifriqiyen n ugafa neɣ Imuritaniyen - Inumidiyen ɣer umenẓaw (continent) amarikani, aṭas n leqrun uqbel Christophe Colomb...

Deg-s ugar n 100 tiwlafin n tɣawsiwin i d-sskeflen.
Yewwi-d awal ɣef usikel amezruyan n ugellid Yuba II d yiwlanen-is (marins) Imuritaniyen -Inumidiyen seg ugaraw Aṭlasi, i wakken ad ɛiwden lebni n tmetti-nsen deg umaḍal amaynut.
Issefhem-d adrug (mystère) n Washitaws, yiwen udrum n yifriqiyen, i temlal tanemzagt (expédition) n Lewis d Clark deg tazwara.

Deg 1982 Russell E. Burrows, assegaḍ n yigerrujen deg Illinois n unẓul, yemderkal deg yiwen umkan anda ttwaffren imrigen iqburen, isɣunen d yisebdar (sarcophages) n wureɣ deg yiwen yifri ubɛid. LLant deg-s, daɣen, tiblaḍin n udɣaɣ yettwarun s tugniwin n yiserdasen n ṛṛuman, ihudiyen, imasiḥiyen imezwura d yiwlanen n tefriqt n utaram. Tiɣawsiwin-agi, glant-d s ummenuɣ ameqran gar yimusnawen n tsenzikt (archéologie) : ma d tiɣawsiwin n tidet neɣ n uɣurru. Ayagi, yeǧǧa Burrows ad yessedrem anekcum n yifri-nni.


S unadi deg ugar n 7000 n tɣawsiwin i d-yettwakksen seg yifri uqbel assedrem-ines, Frank Joseph, yesfhem-d amek wwḍent tɣawsiwin-agi alarmi ttwameḍlent deg tlemmast n Yiwunak Yeddukklen n Marikan.
Yebda-d s Cléopâtre Séléné tameṭṭut n ugellid Yuba II yeseddan Tigelda n Muritaniya - Numidya. Mbeɛd timenɣiwt n mmi-tsen Ptolémée sɣur Umenkad (Empereur) Caligula, kkren-d Imuritaniyen - Inumidiyen mgal udabu n ṛṛuman ad ṭṭfen abrid-nsen ɣer tmurt ittusemman imir-a Ghana. Din, bnan tanawt n yiɣerruba i wakken ad ssiklen seg ugaraw Aṭlasi ɣer tmurt i ibeɛden ɣef ṛṛuman, anda ssarmen ad ɛiwden lebni n tgelda-nsen. Wwin yid-sen agerruj ameqran llan ttnadin fellas sin yimenkaden n ṛṛuman mebla tkubbert (succès) : isɣunen n ureɣ n Cléopâtre d temkerḍit taqburt n Yuba II. Adlis-agi, deg-s xilla n tewlafin timaynutin n tɣawsiwin i d-yettwakksen seg wadeg n Illinois n unẓul.


Agerruj iɛerqen n Yuba II, d yiwet n temɛayt yesseqnaɛen i izemren ad aɣ-teǧǧ ad nɛiwed tamuɣli ɣef umezruy aqbur n Temrikt d wakken yezmer lḥal ad illin Imuritaniyen – Inumidiyen wwḍen ɣer umenẓaw amarikani azal n mraw d semmus (15) n leqrun uqbel Christophe Colomb.
Sɣur Tala uMaziɣ

Amagrad-agi sɣur Tala uMaziɣ yeffeɣ-d deg weɣmis n yimaziɣen n Arim, 17 deg yulyu 2017. Ula d kunwi tzemrem ad tceggɛem imagraden-nwen ɣer tansa : deptamazight@gmail.com



Source: adrar-inu

VIOL d'une fillette par un IMAM à batna

imam de 40 ans, père de quatre enfants, a abusé de sa nièce, âgée de 12 ans, dans l’enceinte même de la mosquée. La fillette, à peine pubère, se rendait à cette « maison de Dieu » pour étudier le coran. Son oncle, qui y officie, a profité un jour d’un moment de solitude pour assouvir ses besoins.
L’acte incestueux s’est poursuivi durant de longs mois, avant que la mère, alertée par le comportement de plus en plus anxieux de sa fille, ne décide de la suivre discrètement jusque dans la mosquée. Elle a alors découvert l’horreur et alerté les autres membres de la famille. Une sourcière a alors été tendue à l’oncle incestueux. Il a été surpris en pleins ébats avec sa nièce. La scène a été filmée et transmise à la justice. Arrêté, l’imam pédophile a reconnu son forfait et a même avoué avoir eu des relations avec sa nièce dans la mosquée et chez elle !
L’imam est poursuivi pour «violence sexuelle sur mineurs», «pratiques incestueuses» et «violation d’un lieu de culte».


Autre Article proposé par un commentateur :

En Algérie, l’inquiétude grandit chez les responsables du ministère des Affaires religieuses. Et pour cause, la pédophilie ne cesse de prendre de l’ampleur dans les écoles coraniques. Ces derniers mois, plusieurs scandales de mœurs ont éclaté dans ces écoles pieuses où l’on est censé apprendre aux enfants la spiritualité et les principes sacrés de l’islam.

Malheureusement, dans de nombreuses régions à travers le pays, la piété et la spiritualité ont laissé la place aux agressions sexuelles commises sur des enfants. Pour preuve, la semaine dernière, à Sidi Bel-Abbès, situé à l’ouest du pays à 87 Km d’Oran, l’enseignant de l’école coranique de la mosquée de la commune de Boudjebha-El-Bordj, une localité située à 40 km à l’est de Sidi Bel-Abbès, a été condamné à 10 ans de prison ferme pour attentat à la pudeur commis sur un enfant âgé de 6 ans. Le tribunal criminel de Sidi Bel-Abbès a décidé d’emprisonner cet enseignant qui a déshonoré sa fonction et la religion qu’il était censé défendre et enseigner par son comportement vil. Il faut dire que cet enseignant a dépassé « les bornes de l’outrecuidance » lorsque cet enseignant a abusé sexuellement d’un enfant au moment où ce dernier avait demandé à son maître de l’eau à boire !

En effet, l’imam a profité de sa position de force pour enfermer l’enfant « à l’intérieur de la classe » pour abuser de lui sexuellement. Après avoir commis son lâche forfait, l’enseignant a menacé sa victime et lui a demandé de passer sous silence ce viol caractérisé. Mais, « une fois chez lui, l’enfant raconte à sa famille son calvaire et se fait ausculter par un médecin qui a confirmé l’agression sexuelle. Suite à cela, les parents ont déposé une plainte contre l’enseignant qui a été arrêté », explique encore à ce sujet le correspondant local du quotidien Liberté lequel ne manque pas de préciser qu’au cours du procès, « le représentant du ministère public a requis 20 ans de prison ferme contre » cet imam violeur.

Et des imams violeurs, il y en a eu beaucoup ces derniers temps dans nos écoles coraniques. D’ailleurs en 2010, une association a brisé le silence et a mené une enquête sur ces crimes de mœurs qui demeurent un tabou. L’Association Djazairouna des victimes du terrorisme, basée à Blida, avait dévoilé que rien que dans la wilaya de Blida, 28% des enfants qui suivent des cours dans des écoles coraniques ont subi des attouchements sexuels.

Pour arriver à cette amère conclusion, cette association a enquêté sur 431 écoles coraniques. Révélés à l’époque lors d’une rencontre-débat sur le thème « La maltraitance des enfants », organisée par la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme, ces chiffres terribles n’ont pas manqué de susciter l’indignation de l’opinion publique. Mais cette indignation générale n’a pas brisé pour autant le tabou qui entoure la pédophilie dans les écoles coraniques, des institutions religieuses sacrées que les autorités ne désirent pas, visiblement, remettre en cause.



SOURCE ALGÉRIE FOCUS

Google a lancé une mise à jour de son clavier Gboard sur Android et IOS avec plusieurs nouveautés qui font plaisir à ses utilisateurs mais celle qui  fait particulièrement chaud au cœurs des amazighs est l’intégration de Tamazight avec ses deux transcriptions Latine et Tifinagh.



En effet, Google a annoncé entre-autres, à l’occasion du lancement de sa mise à jour de « Nouvelles dispositions de clavier dans les langues suivantes : khowar, tamazight (latin) et tamazight (tifinagh)» lit-on sur le Play store.

La mise à jour du clavier de Google «Gboard» très populaire avec un demi-milliard de téléchargement sur le play store intègre Tamazight avec ses deux transcriptions, L



atin à laquelle feu Mouloud Maameri a dévoué sa vie, majoritairement utilisée par les chercheurs et écrivains amazighs et l’historique Tifinagh adoptée par l’étatique institut royal marocain (IRCAM), après plusieurs pétitions d’internautes et des initiatives de développeurs militants.

Rappelant que «Gboard, le clavier Google», est disponible sur Le play store et App store gratuitement.




Sur le numérique Tamazight avance doucement mais surement, avec l’engagement de ses militants qui ont compris la viabilité du virtuel pour la survie de leur langue plusieurs fois millénaires, avec des travaux particulièrement innovateurs que nous citons à titre d’exemple,  sur les locales de traduction et création de contenu à l’image du navigateur Firefox qui s’est Kabylisé et Wiképedia qui s’enrichit jour après l’autre du contenu des divers langues amazighes.

Source: Observ'Algerie


Un incendie de forêt a endommagé dans la nuit de lundi à mardi une douzaine de maisons dans la commune montagneuse de Maâlla (Ouest Bouira), causant des brûlures ainsi que des asphyxies à une trentaine de personnes, a-t-on constaté sur place.



Le feu s’est déclaré lundi après-midi près des villages Bouguezzine et Laghoual relevant de la municipalité forestière et montagneuse de Maâlla, située sur les hauteurs de Lakhdaria à l’Ouest de Bouira. Attisées par le vent, les flammes ont atteint ces deux villages vers 20 heures, endommageant une dizaine de maisons et causant des brûlures et des asphyxies à une trentaine de personnes.

Les personnes touchées ont été évacuées à l’hôpital de Lakhdaria, selon les services de la protection civile de Lakhdaria. « Toutes les personnes touchées ont quitté l’hôpital, excepté une femme ayant subi des brulures de troisième degré. Cette dernière a été évacuée vers l’hôpital de Douéra (Alger) pour recevoir les soins nécessaires », ont-ils expliqué sur place.

Les flammes ont sérieusement touché une douzaine d’habitations et causant la perte d’une quinzaine de têtes ovines, deux têtes bovines ainsi que trois ânes. Quatre voitures ont été également endommagées par les flammes, a-t-on constaté sur place.

Mardi matin, le feu a été éteint après l’intervention des unités de la protection civile. Une colonne mobile était toujours sur place, a-t-on constaté. « Les services concernés tentaient d’établir le bilan », a expliqué à l’APS, le chargé de la communication de la direction de la protection civile de Bouira, le capitaine Rahmani Raouf.


Les habitants de Bouguezzine et Laghoual ont vécu une nuit infernale et les dégâts auraient été plus lourds sans l’intervention des brigades de la protection civile, a indiqué un des habitants du village.


SOURCE OBSERVE ALGÉRIE

Jugurtha Yazid

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