Jamais un kabyle n'a ridiculisé la Kabylie comme l'a fait Mohand Cherif Hennachi. Il a fait de la JSK et de la Kabylie ce qu'a fait son protecteur Bouteflika de l’Algérie.
Le problème est que l'un ne partira pas sans le départ de l'autre.
L'un salafise (chourouqise) la JSK, l'autre l’Algérie.
Ils seront tous les deux redevables devant l'histoire.
L'un salafise (chourouqise) la JSK, l'autre l’Algérie.
Ils seront tous les deux redevables devant l'histoire.
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JSK : un chameau dans le rôle de l’exorciste
Au temps de la grandeur de la JSK, à l’époque de la Jumbo-Jet, ses adversaires se déplaçaient au stade du 1er -Novembre de Tizi-Ouzou, presque résignés avec le seul espoir de limiter les dégâts. Aujourd’hui, l’équipe est en train de battre un triste record: 7 matches joués à domicile sans la moindre victoire.
Les dirigeants dans leur désarroi ne savent plus à quel saint se vouer. Hannachi a changé d’entraîneur, de manager, ça n’a pas marché. Alors tous les moyens sont bons pour conjurer le sort, même les plus farfelus.
Cette fois, il a fait appel au service d’un CHAMEAU dans l’espoir ou le désespoir de chasser la guigne. Visiblement, ça n’a pas marché non plus. Pire, la JSK a essuyé hier à domicile, sa première défaite de la saison contre Médéa.
Grandeur et décadence.
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